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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:25


Voilà un homme bien...

 

Le réchauffement de la planète,

plus dangereux que l'arme nucléaire, selon Hans Blix



30 janvier 2007 - L'ancien chef des inspecteurs de l'ONU en Irak, Hans Blix, a averti jeudi au Caire que le réchauffement de la planète était plus dangereux que les armes de destruction massive, plaidant pour l'utilisation du nucléaire à des fins pacifiques.

"La menace contre l'environnement et le réchauffement mondial représentent une plus grande menace que les armes de destruction massive", a affirmé à des journalistes le président de la Commission des armes de destruction massive.

"Il est absolument nécessaire
que le monde entier réduise les émissions de gaz à effet de serre", a-t-il ajouté.

"L'énergie nucléaire peut offrir d'énormes quantités d'électricité, sans gaz à effet de serre", a-t-il poursuivi.

"Le traité (de non-prolifération nucléaire, TNP) est soumis à des pressions, mais je crois qu'il est exagéré de dire qu'il est en train de s'effondrer", a-t-il estimé, tout en admettant que
si l'Iran obtenait l'arme nucléaire, il y aurait "un effet domino à long terme qui pourrait être très grave pour cette région.

"La région serait beaucoup moins tendue s'ils n'enrichissaient pas leur propre combustible", a-t-il déclaré,
reconnaissant le droit de l'Iran au nucléaire à des fins civiles. "Mais vous n'avez pas besoin d'exercer tous vos droits", a-t-il tempéré, appelant Téhéran à acheter de l'uranium enrichi.

L'Iran refuse de suspendre son programme d'enrichissement d'uranium, malgré l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU en décembre d'une résolution imposant des sanctions contre ses programmes nucléaire et balistique.

L'Egypte, où s'exprimait M. Blix, a récemment décidé
de relancer son programme nucléaire civil après un gel de 20 ans.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:22

Le réchauffement climatique pourrait détruire dans les décennies à venir la Grande Barrière de corail, plus vaste organisme vivant au monde, indique une étude du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), selon des extraits publiés mardi dans la presse australienne.

Le
blanchiment du corail, qui touche déjà la Grande Barrière à certains endroits, se répétera tous les ans à partir de 2030, estime l'étude, selon de brefs extraits parus dans le quotidien australien The Age.

Ces conclusions doivent figurer dans le chapitre consacré à l'Australie inclus dans une étude qui doit être diffusée en avril par le Giec, après son quatrième rapport qui sera publié vendredi à Paris. Le Groupe concentre l'expertise optimale sur le réchauffement climatique sous l'égide des Nations unies.

Le blanchissement corallien se produit lorsque
les organismes vivants qui donnent aux coraux leurs couleurs meurent, ne laissant subsister que le squelette calcaire du corail.

Il est provoqué par
une hausse des températures de l'eau ainsi que des pluies acides.

La Grande Barrière, site
classé au patrimoine mondial, s'étend sur plus de 345.000 km2 au large de la côte nord-est de l'Australie.

The Age ne donne pas plus de précisions sur le rapport du Giec.

Le danger que représente le réchauffement climatique sur la Grande Barrière fait l'objet d'études depuis plusieurs années en Australie. Le gouvernement envisage notamment
d'installer des parasols géants sur les endroits les plus touchés, après un essai concluant qui a duré deux ans.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:21

Face à une sécheresse historique, les Australiens n'auront pas d'autre solution que de boire leurs eaux usées recyclées, a averti lundi le Premier ministre John Howard.

Commentant une décision de l'Etat australien du Queensland (nord-est)
de faire boire des eaux usées traitées, le chef du gouvernement conservateur a déclaré: "Je suis tout à fait favorable au recyclage, je défends cette solution depuis longtemps".

M. Howard a félicité le Premier ministre du Queensland, Peter Beattie, qui a décidé
de recycler les eaux usées dès l'année prochaine, malgré la controverse suscitée. M. Beattie a renoncé à tenir un référendum sur la question prévue en mars.

Peter Beattie a justifié sa décision par le fait que
le niveau des barrages, d'une faiblesse jamais atteinte auparavant, ne laissait aucune alternative à son gouvernement.

"La réalité est que pour le moment,
nous n'avons pas le choix", a-t-il déclaré, soulignant que les habitants de Singapour, Londres, Washington ou du sud de la Californie boivent déjà de l'eau recyclée.

L'Australie, continent déja le plus sec du globe, est touchée par une séchesse historique, qui a conduit la plupart des grandes villes à prendre des mesures de restriction d'eau.

Clive Berghofer, ancien maire de la ville de Toowoomba (sud-est), dont les administrés ont
refusé en juillet par référendum de boire des eaux usées recyclées, a pour sa part estimé que cette initiative allait ruiner l'image propre et écologique de la région.

"Les politiciens se défilent parce que pendant des années,
ils ont négligé les infrastructures de gestion de l'eau et maintenant ils paniquent", a-t-il déclaré.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:20

Le changement climatique exerce un impact croissant dans le monde, et les pays en voie de développement sont les plus touchés et les moins à même de se protéger, a affirmé lundi à Jakarta un haut responsable de l'ONU.

"Sans aucun doute le changement climatique a
de plus en plus de conséquences, constatées dans le monde entier", a déclaré Yvo de Boer, secrétaire général de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques (UNFCC).

"Ce que je trouve personnellement encore plus inquiétant est le fait que
ces impacts pourraient être les signes avant-coureurs d'événements nettement plus graves", a-t-il poursuivi.

M. de Boer se trouvait à Jakarta pour préparer la treizième Convention des Nations unies sur les changements climatiques qui se déroulera en décembre à Bali.

"Les pays les moins capables de répondre aux conséquences du changement climatique, les moins à même de se défendre contre le changement climatique, sont ceux qui en subissent les conséquences les plus fortes", a-t-il ajouté, citant l'exemple des nations africaines autour du lac Victoria.

L'archipel indonésien est pour sa part menacé
de perdre 2.000 îles d'ici 2030 en raison de la fonte des glaciers et de la montée des eaux provoqués par le réchauffement climatique, a par ailleurs affirmé lundi à Jakarta le ministre de l'Environnement indonésien.

Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), réuni cette semaine à Paris,
le niveau de la mer pourrait s'élever de 8 à 29 centimètres d'ici 2030, a assuré Rachmat Witoelar.

"Chacun dans le monde subit directement les effets du changement climatique, que ce soit par des inondations, des sécheresses ou, Dieu nous en préserve, la montée du niveau de la mer", a-t-il déclaré.

L'Indonésie compte de 17.500 à 18.100 îles et îlots selon les instituts scientifiques. Environ 6.000 de ses îles sont habitées.

Dans son troisième rapport publié en 2001, le Giec prévoyait, selon les scénarios, une hausse des températures comprise entre 1,4 et 5,8 degrés Celsius entre 1990 et 2100 et une élévation du niveau des océans entre 9 et 88 centimètres.

Sources AFP

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 15:18





30 janvier 2007 - L'archipel indonésien est menacé de perdre 2.000 îles d'ici 2030 en raison de la fonte des glaciers provoquée par le réchauffement climatique, a affirmé lundi à Jakarta le ministre de l'Environnement indonésien.

Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), réuni cette semaine à Paris,
le niveau de la mer pourrait s'élever de 8 à 29 centimètres d'ici 2030, a assuré Rachmat Witoelar.

"Chacun dans le monde subit directement les effets du changement climatique, que ce soit par des inondations, des sécheresses ou, Dieu nous en préserve, la montée du niveau de la mer", a-t-il déclaré.

L'Indonésie compte de
17.500 à 18.100 îles et îlots selon les instituts scientifiques. Environ 6.000 îles sont habitées.

Dans son troisième rapport publié en 2001, le Giec prévoyait selon les scénarios une hausse des températures comprise entre 1,4 et 5,8 degrés Celsius entre 1990 et 2100 et
une élévation du niveau des océans entre 9 et 88 centimètres.

Le ministre a assuré que
le réchauffement de la planète entravait le développement, notamment en Indonésie ou la hausse des températures affecte l'agriculture et retarde le repiquage du riz.

L'Indonésie accueillera la prochaine conférence sur le changement climatique, en décembre 2007 à Bali.


Sources AFP

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 14:46

WASHINGTON (Reuters) - La Terre se rapproche de ses températures les plus élevées depuis un million d'années, estiment plusieurs spécialistes du climat dans une étude publiée par l'Académie américaine des sciences.

Selon James Hansen, spécialiste de la Nasa, et les coauteurs de cette étude, les températures moyennes relevées en 2005
ne sont inférieures que de 1°C aux températures maximales du million d'années écoulées.

Depuis trente ans, ajoutent-ils, la température de la Terre a gagné 0,2°C par décennie.

Conséquence de ce réchauffement climatique rapide, notre planète n'a jamais été aussi chaude au cours des 12.000 dernières années.

"Cette évidence implique que nous nous rapprochons de niveaux de pollution d'origine humaine dangereux", souligne James Hansen dans un communiqué, ajoutant que les émissions humaines de gaz à effet de serre sont devenues ces dernières décennies le principal facteur du changement climatique.

Le réchauffement climatique a déjà des effets notables sur la faune et la flore. Selon une étude publiée en 2003 dans le magazine Nature, 1.700 espèces animales et végétales se sont déplacées vers les pôles à la vitesse moyenne de 6 km/décennie dans la deuxième moitié du XXe siècle.

 

Sources Terre Sacrée

Posté par Adriana Evangelizt

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 14:43

Le réchauffement climatique en cours risque de renforcer l'impact d'un phénomène climatique récemment découvert sur l'océan Indien - une sorte d'El Nino - avec pour conséquence des sécheresses dévastatrices sur l'Australie et l'ouest de l'Indonésie, selon une étude.

A des intervalles de quelques années, les températures de surface de l'Est de l'Océan indien plongent de façon marquée, alors que ces mêmes températures augmentent à l'Ouest, au large de l'Afrique tropicale. Cet effet, découvert en 1999, a été baptisé "bipôle de l'océan Indien" (IOD en anglais).

Le phénomène se traduit par des sécheresses en Indonésie et en Australie et par des pluies intenses dans des zones semi-arides d'Afrique. Contrairement à El Nino, dont l'effet peut se faire sentir pendant plusieurs années, le bipôle de l'océan Indien ne semble pas persister au delà de quelques mois.

Le phénomène reste encore bien mystérieux, notamment lorsqu'il s'agit d'expliquer
les mécanismes climatiques qui le font survenir.

Mais, dans un article publié jeudi dans la revue Nature, une équipe internationale de scientifiques lève un coin du voile, après avoir étudié des fossiles de coraux de l'océan Indien dont la croissance est affectée par la température de l'eau de mer et les précipitations. Ils ont ainsi pu dresser une chronologie de l'arrivée des IOD au cours des 6.500 dernières années.

Sous l'impulsion de Nerilie Abram (British Antarctic Survey de Cambridge), cette équipe a découvert que la cause principale du phénomène était
la mousson. Des années de moussons fortes sont suivies par des IOD, selon eux.

Les moussons sont également
connectées à El Nino
. Pendant les années où ce phénomène est installé sur le Pacifique, les pluies qui apportent la vie dans une grande partie de l'Asie sont généralement faibles. La possibilité de l'arrivée d'un dipôle sur l'océan Indien en est diminué d'autant.

Mais
le rechauffement climatique entraîné par l'homme est en train de rompre ce lien entre El Nino et la mousson. La tendance récente est à un renforcement des moussons, ce qui devrait à son tour augmenter la fréquence d'apparition des dipôles sur l'océan Indien, a souligné Mme Abram, interrogée par l'AFP.

"La mousson est affectée par El Nino, mais avec le réchauffement global, cette interaction est en train de se déliter et la mousson gagne en force, de manière indépendante d'El Nino". "En Indonésie, les sécheresses devraient se déplacer vers une période de l'année où les gens attendent le plus de pluies". L'impact pourrait être sévère pour les agriculteurs, a-t-elle relevé.

"En ce moment même,
le dipôle de l'océan Indien a des effets dramatiques sur le climat de cette région. En Indonésie, ils ont déjà des sécheresses et des feux de forêt qui constituent une menace pour la santé humaine et à l'environnement", a fait valoir la chercheuse australienne.

Le dernier dipôle s'est installé sur l'océan Indien l'an dernier et son prédécesseur remonte à la fin des années 90. "Normalement, le phénomène atteint son intensité maximale en octobre et novembre. Après la mousson, les vents changent de direction, le phénomène se dissipe et les choses reviennent de nouveau à la normale", a-t-elle résumé.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt


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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 14:42

12 janvier 2007 - Le bilan 2006 confirme la tendance au réchauffement de la planète, a affirmé dimanche Michel Jarraud, secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

Interrogé sur France Inter, M. Jarraud a indiqué que 2006 était "pour la planète,
la 6ème année la plus chaude, la 4ème pour l'hémisphère nord et la deuxième pour la France", selon les données recensées auprès des 187 météorologies nationales adhérentes de cette organisation des Nations unies.

L'expert a précisé que l'on avait
vu "des températures anormalement douces en début et en fin d'année", citant en janvier et avril des températures de plus de douze degrés au dessus des moyennes saisonnières au nord de la Norvège ainsi que des "chaleurs extrêmes", avec notamment à Sydney (Australie) une température de presque 45 degrés le 1er janvier 2006.

L'OMM note également
"toute une série d'événements extrêmes", comme des sècheresses très importantes dans la corne de l'Afrique suivies d'"inondations dévastatrices" dans les mêmes régions ou dans des régions "plus inattendues comme le Sahara ou le Niger", a-t-il dit.

Concernant l'Arctique, l'OMM a calculé
une "déperdition annuelle d'à peu près 60.000 km2, soit la Belgique plus les Pays-Bas", a ajouté M. Jarraud selon qui l'année 2006 a été une "année presque record, juste après 2005, pour la faible étendue de la banquise en Arctique".

L'élévation du niveau des mers est estimée d'ici 2100
"de 10 à 90 cm, soit en moyenne autour de 50 cm", a indiqué M. Jarraud, ce qui est "considérable et catastrophique" pour des îles de l'océan Indien ou Pacifique ou des villes en bord de mer.

Evoquant 2007, M. Jarraud a indiqué que le phénomène El Nino dans le Pacifique contribuerait "à des températures plus élevées en 2007", notant par ailleurs que le réchauffement global est
"provoqué en grande partie par des émission de gaz à effet de serre d'origine humaine (...) qui continuent à augmenter".

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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