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28 mai 2011 6 28 /05 /mai /2011 23:18

Nous pouvons dire, sans ambages, que la théorie de l'Evolution des scientifiques "patentés" actuels est plus qu'erronée. Ils croient que Néandertal -comme les autres hominidés- a disparu, comme ça, par enchantement, pour être remplacé par une autre espèce surgie d'on ne sait où. Ce qui est tout simplement ridicule. Alors d'où vient l'Homo Sapiens, c'est-à-dire nous ? La réponse est simple, nous sommes la continuation du Neandertal. Et certains en possèdent encore les gènes, d'ailleurs ceux-là sont facilement reconnaissables. A leur faciès aux gros traits, à leur façon brutale de se comporter, à leur manque de Conscience et à leur Inhumanité, pour ne citer que quelques tares de leurs Ancêtres qu'ils colportent allègrement.

 

C'est l'Elévation de la Conscience -par les valeurs morales- qui fait l'Evolution de l'Humain. Ceci est bien spécifié dans tous les textes sacrés qu'il ne faut pas lire au pied de la lettre, bien entendu, pour comprendre l'Héritage légué par nos Grands Ancêtres. La Feuille de Route, en quelque sorte. Le Chemin de Vie à suivre pour atteindre le But, gravé en nous depuis l'époque très lointaine où nous n'étions pas encore "matière". Je sais bien que c'est compliqué à comprendre mais plus on s'enfonce dans le "matériel" et davantage le corps se densifie. Al contrario, plus on Elève son Esprit et davantage dans la vie future, on s'affinera. S'allègera. Car c'est la MUTATION DU GENOME QUI FAIT TOUT. L'Arbre de Vie. Bien évidemment, on ne trouve pas le mot "génome" dans les livres de la Tradition. Nos Ancêtres n'utilisaient pas le même language que nous. Comme déjà expliqué, ils employaient des images, des symboles, des métaphores, des paraboles. Ainsi dans Enoch, est-il bien question de cet Arbre...

 

 Quant à cet arbre à la suave odeur, dont le parfum n'a rien de charnel,  personne n'y portera la main jusqu'au jour du jugement. Quand les méchants auront été livrés aux tourments éternels, cet arbre sera donné aux justes et aux humbles. Ses fruits seront réservés aux élus. (Enoch XXIV, 9)

 

Cet arbre, dit-il, n'a rien de charnel, c'est-à-dire, rien de matériel. Il ne se touche pas. Il est invisible à l'oeil nu. Personne ne peut y porter la main, y accéder, jusqu'au jour du Jugement. Et le jour du Jugement, c'est ce que j'ai vu lors de ma NDE ou EMI, notre vie défile deux fois. La première, de notre Mort à notre Naissance. Là, cela se passe très vite, comme si vous regardiez le film de votre vie à la télévision, en version muet rapide. Puis, de votre naissance à votre mort... mais cette fois, au ralenti. Voilà d'ailleurs pourquoi il faut attendre au moinsTROIS JOURS avant l'enterrement. Car cela peut prendre beaucoup de temps pour les personnes ayant eu une vie chargée en mauvaises actions et crimes de toutes sortes. TOUT est passé au crible. Les pensés, les paroles et les actes. A chaque préjudice causé à soi-même et à autrui, qui a généré peine et souffrance, on est comme électrisé et c'est très douloureux. Je schématise mais c'est un peu comme si on était cloué sur une chaise électrique et que l'on recevait une décharge en proportion du mal causé. Ceci est le Jugement. Nous sommes jugés à nos oeuvres. Et c'est d'après ces paramètres que le Futur Génome se met en place. Le Génome personnel sur lequel sera greffé une partie de celui de nos parents. Selon l'état des lieux, il sera soit régressif pour les méchants. Soit Evolutif pour les Justes et les Humbles. Et Enoch précise bien pour ces derniers :

 

...et ils couleront, comme tes ancêtres, une vie longue sur la terre; et cette vie ne sera troublée ni par les malheurs, ni par les peines, ni par les misères. (Enoch XXIV, 10)

 

Voilà la Mission. Devenir des Immortels. Devenir ce que nous avons déjà été. Chose dont les Anciens Egyptiens gardaient un vague souvenir. Vague. Car après le dernier Cataclysme, il y eu "déperdition de la mémoire" chez les plus savants qui survécurent. Ils ne gardèrent que des bribes de la Connaissance de leurs Ancêtres et presque plus aucun pouvoir psychique. J'avais posé un texte de Roger Guasco qui explique bien la chose. L'embaumement du corps du pharaon pour atteindre l'Immortalité est la preuve certaine d'une déviation totale de la Tradition Originelle. Ceci ne semble pas choquer les scientifiques. Ils ne se posent pas la question de savoir comment des êtres extraordinaires en sont venus à ériger des Pyramides que nul à notre époque ne peut répliquer et d'un autre côté, avec une telle Connaissance, comment en étaient-ils réduits à embaumer leur corps selon la plus absurde des croyances ? Ceci prouve justement que ni Kheops ni ses suivants n'ont contruit ces monuments. On peut même penser qu'ils en ignoraient l'usage. Sinon, ils auraient su qu'à l'intérieur de la Grande Pyramide, il était possible d'accéder à "un autre état" qui permettait de transcender le Temps. Et de vivre très longtemps sur terre sans subir le vieillissement.

 

Toujours en lisant Enoch, on voit que cet "Arbre" -ce Génome Parfait-  est en nous depuis des temps immémoriaux, et que seuls ceux qui auront atteint la Perfection parviendront à retrouver la condition d'Êtres de Lumière qu'ils ont perdu. Au fond de nous, nous en portons la trace...

 

Et je louai le Seigneur de gloire le Roi éternel, de ce qu'il avait préparé cet arbre et avait daigné le promettre aux saints. (Enoch XXIV, 11)

 

Et ceci, les scientifiques ne peuvent pas le voir puisqu'ils n'ont décryté que 2% du génome humain. Mais de toute façon, ils ne tiennent aucun compte du rôle de la Conscience dans l'Evolution humaine. Pour eux, tout ce qui est invisible n'existe pas.

 

Pour dire que ce sont les Néandertal les plus évolués qui ont muté en Sapiens, il y a 1 à 4 % de leurs gènes dans l'homme moderne, NON AFRICAIN. Je précise. Voir ICI. Ce qui signifie que génomiquement, les Africains sont en avance sur nous, et je suis certaine que les Chinois et Indiens aussi. Ils se sont déjà débarrassés des gènes néandertaliens. Pas nous. A moins qu'ils ne descendent d'une lignée humaine non néandertaliennes. Et d'ailleurs, peut-être que tous les blancs n'ont pas ces restes. Ceux qui en possèdent  4 % sont les plus barbares et les plus inhumains. On peut y inclure sans peur, toutes les élites dévoyées de ce monde et les sionistes, descendants des Khazars. L'Inhumanité est la caractéristique des descendants des Néandertal. Mi hommes, mi bêtes. Apparence humaine mais Intérieur Animal. D'où l'affligeant spectacle que l'on voit aujourd'hui dans ce monde.

 

Il ne faut pas oublier non plus, comme je l'ai déjà expliqué, que les Néandertal sont le résultat d'une mutation de l'ADN suite à un conflit nucléaire qui eut lieu entre 300 000 et 400 000 ans, comme en témoigne les traditions hindoue et aztèque. Je vous ai déjà parlé du "vent qui souffla de l'Est et transforma tous les hommes en singe, sauf deux." Très évocateur. Il nous est donc permis de penser que les DEUX NORMAUX aurait pu donner naissance aux Africains qui n'ont pas de Néandertal dans leurs gènes. Ce qui signifie aussi que la couleur blanche des occidentaux est due à une irradiation par l'atome. D'ailleurs une scientifique spécifie bien ce fait sur une doc américaine que j'ai déjà posé ici. De là à penser que nous sommes une espèce dégénérée, il n'y a pas loin, quand on voit ce que l'on voit.

 

 

 

L'homme de Néandertal aurait subsisté

 

6.000 ans de plus qu'on ne le pensait

 

 

Des vestiges néandertaliens mis au jour en Russie, près du cercle polaire, dateraient de 31.000 ans environ, soit plus de 6.000 ans après la la date estimée de disparition de ce cousin de l'homme moderne, selon des travaux d'une équipe internationale publiés jeudi.

 

"Cette découverte remet en question l'hypothèse la plus souvent avancée selon laquelle l'homo sapiens aurait complètement remplacé les néandertaliens dans toute l'Europe il y a environ 37.000 ans", écrivent les auteurs de cette recherche parue dans la revue américaine Science datée du 13 mai.

 

Ces chercheurs, des Français, des Russes et des Norvégiens, ont découvert plus de 300 outils de pierre et des restes d'animaux dont des mammouths, des  ours noirs et des rhinocéros laineux portant des traces de dépeçage, lors de différentes excavations sur le site de Byzovaïa, dans les contreforts de l'Oural sur la rive droite de la rivière Petchora.

 

Outre la datation au radiocarbone, ils ont recouru à la technique dite de luminescence optique stimulée qui permet de savoir quand des sédiments ont été exposés à la lumière pour la dernière fois.

 

Byzovaïa pourrait avoir été leur dernier refuge nordique avant leur extinction, supputent les auteurs de ces travaux.

 

Jusqu'alors, tous les vestiges néandertaliens identifiés se situaient au moins 1.000 km plus au sud.

 

Mais les objet découverts à Byzovaïa, occupé apparemment en continu pendant 3.000 ans, appartiennent bien à la culture moustérienne qui caractérise les néandertaliens, observent-ils.

 

Cette culture s'est développée au Paléolithique moyen (-300.000 à -37.000 ans) en Eurasie et se distingue par l'utilisation d'une gamme très diversifiée d'outils de pierre.

 

Les résultats de ces derniers travaux intriguent les chercheurs à plusieurs titres.

 

Ils montrent que la culture moustérienne aurait perduré plus longtemps qu'estimé ou bien que ses porteurs auraient pu aussi être des Homo sapiens.

 

Si tel est le cas, les théories selon lesquelles l'extinction de l'Homme de Néandertal a résulté de l'archaïsme de sa culture seraient remises en question, notent les auteurs de ces travaux.

 

Cette découverte ouvre ainsi de nouvelles perspectives sur cette période charnière de l'histoire de l'humanité, selon eux.

 

Sources 20 minutes

 

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Les derniers néandertaliens près du cercle polaire ?

 

 

 

Des vestiges retrouvés à proximité du cercle polaire arctique et caractéristiques de la culture moustérienne(1), viennent d’être datés d’il y a plus de 28 500 ans, soit plus de 8 000 ans après la disparition théorique de l’Homme de Néandertal. Réalisée par une équipe internationale et pluridisciplinaire à laquelle participent des chercheurs du CNRS(2), cette découverte surprend et bouscule les théories : l’Homme de Néandertal aurait-il vécu plus longtemps que l’on ne croyait ? Ou bien Homo sapiens aurait-il déjà migré en Europe à cette période ? Ces résultats sont publiés dans la revue Science du 13 mai 2011.

 

La culture moustérienne, qui s’est développée au cours du Paléolithique moyen (-300 000 à -33 000 ans), se distingue par l’utilisation d’une gamme très diversifiée d’outils sur éclats, principalement par l’Homme de Néandertal en Eurasie, mais aussi par l’Homo sapiens au Proche-Orient.

 

Considérée comme archaïque, cette culture n’aurait pas permis à Néandertal de coloniser les environnements nordiques les plus extrêmes de la planète et lui aurait été fatale il y a 33 000 à 36 000 ans. Il aurait alors laissé la place à l’Homme moderne qui semble, quant à lui, avoir occupé l’ensemble des espaces eurasiatiques grâce à la maîtrise de technologies plus avancées que celles de son prédécesseur.

 

Une équipe pluridisciplinaire de chercheurs français du CNRS, en collaboration avec des scientifiques norvégiens et russes, s’est intéressée au site de Byzovaya situé dans l’Oural polaire, au nord de la Russie. Grâce à l’utilisation du carbone 14 et d’une technologie de stimulation optique, les chercheurs ont daté avec précision des sédiments ainsi que des ossements de mammouths et de rennes abandonnés sur le site. Ces derniers présentaient des modifications dues aux activités de boucherie de chasseurs du Moustérien.

 

Ces résultats intriguent les chercheurs à plus d’un titre. Ils montrent que la culture moustérienne aurait perduré plus longtemps que ce qui était avancé jusqu’à présent. De plus, aucune société du Moustérien n’avait encore été mise en évidence à proximité directe du cercle polaire (les manifestations moustériennes identifiées jusqu’à présent se situent au moins 1000 km plus au sud). Enfin, le site de Byzovaya, appartenant au territoire eurasiatique, n’aurait été occupé qu’une seule fois, il y a 28 500 ans environ, soit plus de 8 000 ans après la supposée disparition de l’Homme de Néandertal.

 

Cette découverte soulève ainsi de nombreuses questions notamment sur l’organisation des sociétés du Moustérien : l’Homme de Néandertal aurait-il vécu plus longtemps que présumé ? Ou bien les porteurs de cette ultime culture moustérienne auraient-ils été des Homo sapiens ? Si tel est le cas, les théories expliquant l’extinction de l’Homme de Néandertal en raison de l’archaïsme de sa culture, seraient remises en cause. Ces travaux ouvrent de nouvelles perspectives sur cette période charnière de l’histoire de l’humanité.

 

(Cnrs, mai 2011)

 

Notes :

(1) La culture moustérienne se caractérise par l’utilisation d’outillage particulier pendant le paléolithique moyen (-300 000 à -33 000 ans) par l’Homme de Neandertal en Europe mais aussi Homo Sapiens au Proche-Orient.

 

(2) Laboratoire Travaux et recherches archéologiques sur les cultures, les espaces et les sociétés (CNRS, Université Toulouse-Le Mirail, ministère de la Culture et de la communication, INRAP, EHESS) ; Laboratoire de la préhistoire à l’actuel : culture, environnement et anthropologie (CNRS, Université Bordeaux 1, ministère de la Culture et de la communication, INRAP) ; Laboratoire archéologies et sciences de l’antiquité (CNRS, Universités Paris 1 Panthéon Sorbonne et Paris Ouest Nanterre-La Défense, ministère de la Culture et de la communication)

 

Références :

Late Mousterian Persistence near the Arctic Circle. L.Slimak, J.I.Svendsen, J.Mangerud, H.Plisson, H.P.Heggen, A.Brugère and P.Y.Pavlov. Science, 13 mai 2011.

 

Sources Aloufok

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

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18 juillet 2010 7 18 /07 /juillet /2010 20:10

 Un bateau du 18e siècle retrouvé sous Ground Zero. Ceci prouve les bouleversements terrestres de notre planète, bouleversements si intenses qu'ils recouvrent un port, des bateaux, des sites entiers. On peut dire sans se tromper que si on pouvait bouger les montagnes, remuer les mers, creuser à plus d'un km, on trouverait des vestiges de cités et des monuments datant de centaines de milliers d'années. Je suis même persuadée qu'avec ce que la Terre nous prépare, les soulèvements du sol qui vont se produire, des villes englouties voilà des millénaires vont refaire surface et dans quelques miliers d'années, les descendants des survivants penseront sans doute que ce sont leurs Ancêtres qui ont laissé des traces. Alors que nos traces à nous -s'il en reste- seront en dessous de nos Ancêtres à nous. Voilà comment les choses se passent. Et nos pauvres archéologues croient que les Pyramides de Gizeh ont cinq mille ans alors qu'elles en ont trois fois plus, au bas mot.

 

 

 

 

Un navire du 18e siècle sous Ground Zero

 

 

 

 

 

Des travailleurs sur le site du World Trade Center, à New York, s'affairaient jeudi à sortir de terre la coque d'un bateau en bois de plus de 10 mètres de long qui aurait apparemment servi au 18e siècle lors du remblaiement qui a permis l'extension de Lower Manhattan dans le fleuve Hudson.

Les vestiges devaient pouvoir être extraits d'ici la fin de la journée, a dit l'archéologue Molly McDonald. Elle a précisé qu'elle espérait pouvoir sauver au moins quelques poutres; on ne sait pas encore si des parties plus grandes du navire pourront être retirées intactes du sol.

 

L'excavation s'effectue à la main car les vestiges sont très fragiles, a dit l'archéologue. De la machinerie pourrait être utilisée plus tard dans le processus.

 

Mme McDonald et l'archéologue A. Michael Pappalardo se trouvaient sur le site des attentats du 11 septembre 2001 quand la découverte a été faite mardi matin.

 

Mme McDonald a expliqué mercredi avoir remarqué qu'une pelle excaveuse avait retiré des poutres incurvées du site. Les travailleurs ont rapidement découvert l'armature d'un navire, puis ont continué de déblayer pour finalement exposer jeudi la coque du bateau.

 

Des échantillons des poutres seront envoyés à un laboratoire qui les analysera par dendrochronologie, une méthode qui permet d'obtenir la datation de pièces de bois.

 

Les archéologues ont entamé une course contre la montre pour enregistrer et analyser le navire avant que son bois fragile, maintenant exposé à l'air libre, ne commence à se détériorer.

 

Sources :Cyberpresse

 

Posté par Adriana Evangelizt

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 10:10

Il faut noter que plus le temps passe et davantage l'apparition de l'homme est repoussée dans le temps. La fourchette étant maintenant comprise entre 1,8 millions et 800 000 ans. Alors que l'on nous dit que l'Homo Sapiens ne serait apparu que voilà 40 000 ans. C'est-à-dire notre espèce. Mais on peut se poser de nombreuses questions sur notre espèce, vu qu'il en a existé une avant la nôtre qui possédait un plus gros cerveau. On est passé de 1650 cm3 à 1350 cm3. Soit une diminution de 300 cm3. Ce qui prouve que nous avons régressé. J'insiste. Il y a eu une régression dans les derniers 100 000 ans mais combien y en a-t-il eu avant ? La science officielle ne peut pas répondre à cette question car les squelettes de nos lointains ancêtres sont introuvables à cause des divers bouleversements terrestres qui ont eu lieu depuis des millions d'années. Il nous reste les vestiges des grandes civilisations dont nous sommes incapables de reproduire, par exemple, les Pyramides de Gizeh. Signe évident d'une supériorité scientifique par rapport à cette civilisation matérialiste et destructrice qui domine le monde sans maîtriser les éléments terrestres comme le firent nos Ancêtres. Ils possédaient non seulement d'importants pouvoirs psychiques mais, de surcroît, ils connaissaient la puissance des sons par rapport aux forces cosmiques. Ils ne parlaient pas comme nous pour ne rien dire. Tout était sacré. Voilà pourquoi les 22 lettres de l'alphabet hébreu n'étaient pas destinées à devenir un langage vulgarisé. Elles sont le substrat d'une gamme Harmonique destinée à réveiller les forces de la Nature invisible. Seuls les Grands Prêtres détenteurs de la Science Sacrée utilisaient ces sons précieux dans la Pyramide dite de Khéops, voilà pourquoi nous y trouvons la galerie en encorbellement. Le Savoir Antique s'est perdu et l'actuelle Science n'a jamais cherché à le retrouver.

 

 

 

 

Des premiers hommes déjà présents en Angleterre

 

 il y a 800.000 ans

 

 

 

 

Les premiers hommes se sont adaptés aux frimas de l'Europe du Nord il y a 800.000 ans, soit 100.000 ans plus tôt que ce qu'on croyait possible jusque là, selon une étude sur des découvertes archéologiques britanniques publiée mercredi dans la revue Nature.

 

Tous les sites archéologiques étudiés jusqu'à présent en Europe et en Asie ayant des traces de présence humaine pendant la période du Pléistocène (il y a 1,8 million d'années à 780.000 ans) se trouvaient sous le 45e parallèle, laissant penser que la température avait fait barrière aux migrations des premiers hommes vers le Nord.

 

Tous ces sites étaient de climat tropical, méditerranéen ou de savane.

 

Les hommes semblaient confinés à l'époque au sud des Pyrénées et des Alpes, et leur présence en Grande-Bretagne remontait à 500.000 ans. Néanmoins en 2005, des fouilles à Pakefield (Suffolk, est de l'Angleterre) ont montré une présence humaine remontant à 700.000 ans. Les nouvelles découvertes placent le curseur 100.000 ans plus tôt.

 

"Ces découvertes sont de loin la trace la plus ancienne connue de présence d'humains en Grande-Bretagne, remontant à au moins 100.000 années plus tôt que les découvertes précédentes", a expliqué le Pr Chris Stringer, directeur de recherches sur les origines de l'homme au Musée d'Histoire naturelle à Londres.

 

"Elles ont des implications importantes pour notre compréhension du comportement des premiers hommes, leurs adaptations, leur survie, et pour savoir quand et comment nos ancêtres ont colonisé l'Europe après avoir quitté l'Afrique", il y a 1,8 million d'années, explique-t-il.

 

Ces nouvelles découvertes montrent que ces premiers hommes survivaient dans des climats hostiles, à des températures hivernales inférieures à zéro.

 

"Ces nouveaux objets de silex sont incroyablement importants. Non seulement ils sont plus anciens que les autres découvertes, mais ils sont accompagnés d'une gamme de données sur l'environnement qui donnent une image claire de la végétation et du climat", explique Nick Ashton, du British Museum, codirecteur du projet.

 

"Cela montre que les premiers hommes ont survécu dans un climat plus froid que le climat actuel", explique-t-il.

 

L'été les températures avoisinaient les 16 à 18 degrés, l'hiver elles descendaient jusqu'à -3 degrés.

 

Une grande partie de l'Europe du Nord était couverte à l'âge de glace de forêts boréales, fluctuant en fonction de l'évolution des glaciers. Plantes et animaux comestibles étaient rares et clairsemés, les jours raccourcis et les températures rigoureuses en hiver rendaient encore plus difficile la vie déjà rude des premiers hommes.

 

Happisburgh se trouvait sur un cours ancien, aujourd'hui disparu, de la Tamise. "La plaine, inondée par la marée, était recouverte d'herbe qui nourrissait un grand nombre d'herbivores, comme des mammouths, des rhinocéros et des chevaux. Les prédateurs devaient être des hyènes, des félins à dents de sabre et bien sûr les humains", indique Simon Parfitt, d'University College London.

 

Sources AFP

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 13:53

Une équipe INTERNATIONALE de recherche -notez bien INTERNATIONALE, ça fait de suite plus sérieux- révèle que les homo-sapiens auraient copulé avec les néanderthaliens car 2 à 4 % du génome de l'homme actuel proviennent des néandertals. Il s'est produit, disent ces chercheurs, un transfert de gènes entre les Néandertaliens et les humains. Voilà tout ce qu'ils ont trouvé pour expliquer la trace de notre Ancêtre chez nous. Il ne leur viendrait pas à l'idée que le génome de Néanderthal a muté -chez les individus les plus conscients et les plus aptes- pour se transformer en homo-sapiens. Tout comme actuellement, les homo-sapiens les plus Elevés en Conscience et en Intelligence verront leur génome muter en une espèce plus développée que la nôtre. Voilà aussi pourquoi je dis aux sionistes et à ceux qui leur ressemblent qu'ils sont condamnés à l'extinction dans le monde futur. Ils seront les néandertals ou les cro-magnons sapiens de la future espèce. Et tout ça par leur faute, par leur esprit rétrograde dû à une mauvaise interprétation des textes et à une dégénerescence de la Conscience. C'est sans compter que de précher la non-assimilation et l'endogamie -mariage à l'intérieur d'une communauté- appauvrit le sang et amène des maladies neuro-végétatives. On ne bâtit pas un Homme Nouveau en concentrant le Vieux dans des unions plus ou moins consanguines. C'est ce qui coûta d'ailleurs leur lignée à certaines castes royales. Et ceux qui n'ont pas compris ça n'ont rien compris du tout. Donc si nous possédons deux à quatre pour cent du Néanderthal, c'est parce que ce dernier a muté pour donner notre espèce. Et que notre espèce est déjà en train de muter -pour les plus Conscients, je répète- pour changer le Génome qui donnera naissance au Futur Être...

 

 

 

 

Le séquençage du génome néandertalien révèle des croisements avec l'homme
 
 
 

Le séquençage du génome du Néandertalien, annoncé jeudi par une équipe internationale de recherche, révèle des croisements avec l'humain moderne et lève le voile sur des traits génétiques uniques à l'homme dans l'évolution.

 

De un à quatre pour cent du génome de l'homme --2% de ses gènes-- proviennent des Néandertaliens, nos plus proches cousins, dont l'apparition remonte à environ 400.000 ans et qui se sont éteints il y a 30.000 ans, précisent ces chercheurs dont l'étude paraît dans la revue américaine Science du 7 mai.

 

"Nous pouvons désormais dire que selon toute vraisemblance il s'est produit un transfert de gènes entre les Néandertaliens et les humains", souligne Richard Green, professeur d'ingénierie bio-moléculaire à l'Université de Californie à Santa Cruz, principal auteur de ces travaux entamés quatre ans auparavant et dont une ébauche avait été rendue publique en 2008.

 

Selon ces chercheurs, ce transfert génétique a dû se produire il y a entre 50.000 et 80.000, probablement quand les premiers homo-sapiens ont quitté l'Afrique --berceau de l'humanité-- et rencontré les hommes de Néandertal au Proche-Orient, avant de se dispercer en Eurasie.

 

Le fait que les gènes néandertaliens apparaissent dans le génome d'individus d'origine européenne et asiatique mais pas chez les Africains conforte cette hypothèse.

 

En outre, aucun gène d'homo-sapiens n'a été trouvé dans le génome du Néandertalien séquencé à partir d'ADN extrait de trois ossements fossilisés provenant de la caverne de Vindiglia en Croatie, qui datent de 38.000 et 44.000 ans. Ces os appartenaient à trois femelles.

 

Ces chercheurs ont comparé le génome néandertalien avec celui de cinq humains modernes venant d'Afrique australe et occidentale ainsi que de France, de Chine et de Papouasie Nouvelle-Guinée.

 

Ils ont aussi fait la comparaison avec le génome du chimpanzé dont 98,8% des gènes sont identiques à ceux de l'homme. En comparaison, le Néandertalien était à 99,7% identique génétiquement à l'humain moderne et, lui aussi, à 98,8% au chimpanzé. L'ancêtre commun entre l'homme, le Néandertalien et le chimpanzé remonte à cinq ou six millions d'années.

 

L'homme de Néandertal et l'humain ont divergé dans l'arbre de l'évolution à une période remontant entre 270.000 et 440.000 ans, concluent ces chercheurs, soulignant que les deux espèces étaient très semblables.

 

Mais ce sont surtout les différences qui sont intéressantes.

 

"Le séquençage du génome du Néandertalien nous permet de commencer à définir tous ces traits dans le génome humain qui diffèrent des autres organismes vivants, y compris de celui du plus proche parent de l'homme dans l'évolution", observe Svante Pääbo, directeur du département de génétique de l'Institut Max Planck en Allemagne, qui dirige ce projet de séquençage.

 

Pour Richard Green, "le décodage du génome de l'homme de Néandertal est une mine d'informations sur l'évolution humaine récente et sera exploitée durant les années à venir".

Parmi les vingt endroits du génome de l'homme montrant les plus fortes indications de sélection positive dans l'évolution, ces chercheurs ont isolé trois gènes dont les mutations affectent le développement mental et cognitif. Ces mêmes gènes, lorsqu'ils présentent des mutations, sont aussi impliqués dans la schizophrénie, l'autisme et la trisomie 21.

 

D'autres de ces vingt régions du génome humain qui diffèrent de celui du Néandertalien contiennent un gène jouant un rôle dans le métabolisme énergétique et un autre affecte le développement de la boîte cranienne, de la clavicule et de la cage thoracique.

 

Ces chercheurs ont enfin établi la première édition d'un catalogue de traits génétiques propres à tous les humains mais pas au Néandertalien ni au singe.

 

Sources AFP

 

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Néandertal et l'homme moderne auraient roucoulé sous la couette

 

 

par Amélie Daoust-Boisvert

 

Il y a 80 000 ans, les hommes de Néandertal et les premiers humains ont bel et bien poussé la cohabitation jusque sous la peau de mammouth. Des études génétiques publiées hier dans Science confirment que les deux espèces cousines ont eu des rapports sexuels qui se répercutent jusqu'à aujourd'hui, puisque de 1 à 4 % de nos gènes nous viennent de ces lointains rapprochements.

Les accouplements se seraient produits il y a de 50 000 à 80 000 ans. Les premiers Homo sapiens quittaient alors l'Afrique, le berceau de l'humanité, vers le nord. On savait déjà qu'ils avaient côtoyé des néandertaliens au Proche-Orient et en Europe, mais à savoir si reproduction il y avait eu, le débat restait ouvert.

Selon le chercheur Svante Pääbo, qui a dirigé le projet, quelques dizaines d'accouplements auraient suffi pour que Néandertal laisse son empreinte chez l'homme moderne. Mais pas chez les Africains. En comparant le génome néandertalien — complet à 60 % — à celui d'un Français, d'un Papou et de deux Africains, les généticiens ont découvert que ces derniers n'en portaient pas de trace, ce qui conforte l'hypothèse d'une migration humaine de l'Afrique vers le nord,quelques populations seulement d'homme de Néandertal subsistaient à l'époque.

Le génome de ce lointain cousin a été décrypté à partir d'ossements de trois femelles, vieux d'environ 40 000 ans, découverts en Croatie. L'Homo neandertalensis est disparu il y a environ 30 000 ans, laissant à l'homme moderne la planète entière comme terrain de jeu.

Impossible de déterminer si c'est la forme du nez ou encore un trait de caractère que Néandertal a laissé en héritage, puisque les scientifiques parlent de «parcelles aléatoires d'ADN», dit Svante Pääbo. «S'il nous avait légué un gène important pour notre survie, nous l'aurions identifié», croit son collègue Richard Green.

«Le séquençage du génome néandertalien nous permet de commencer à définir tous ces traits dans le génome humain qui diffèrent des autres organismes vivants, y compris celui du plus proche parent de l'homme dans l'évolution», poursuit-il.

Ce soudain rapprochement entre l'homme de Néandertal et Homo sapiens a surpris les chercheurs, qui avaient conclu en 2004 à partir d'analyses d'ADN mitochondrial que les deux espèces ne s'étaient pas accouplées. Mais les nouvelles analyses, à partir d'ADN du noyau des cellules, jettent un éclairage nouveau sur l'histoire de l'humanité.

 

Sources Le Devoir

 

 

 

Posté par Adriana Evangelizt

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 17:26

 

 

 

 

Un primate vieux de 11 millions d’années

 

 

Des chercheurs espagnols ont découvert une nouvelle espèce de primates primitifs dans le bassin de Vallès-Penedès en Catalogne.

 

C’est dans la décharge de Can Mata, en Catalogne, qu’une équipe de paléontologues espagnols a retrouvé des restes fossilisées (des fragments de mâchoires et de molaires) d’une espèce de primate inconnue qui a été dénommée Pliopithecus canmatensis. Les pliopithèques, un genre aujourd’hui disparu, sont des petits singes végétariens qui ont peuplé l’Europe et l’Asie principalement. Ils sont apparentés aux Catarhiniens, ou singes de l’Ancien monde dont font partie les humains.

 

L'analyse des pièces dentaires et des fragments de mâchoire découverts sur le site catalan a été publiée dans l'American Journal of Physical Anthropology. Selon les conclusions de l'étude, la nouvelle espèce appartient à la sous-famille des pliopithecines, qui pourrait provenir d'un ancêtre appelé dionsisopithecine originaire d’Asie, d'où ils se sont dispersés en Europe à la fin du Miocène inférieur (il y a environ 15 millions d'années).

 

Sources Sciences et Avenir

 

Posté par Adriana Evangelizt

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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 09:48

Encore une preuve ! La découverte de fragments d'os attribués à un enfant dont l'ADN diffère des Néanderthal et des Sapiens ! La science est encore une fois mise à mal dans sa théorie de l'Evolution. Elle ne tient pas compte des bouleversements stupéfiants de la terre qui cache en son sol des vestiges de l'Humanité passée dont certaines espèces furent supérieures à la nôtre. Tout se confirme.

 

 

Un autre hominidé en Sibérie il y a 40 000 ans ?

 

 

Publication dans la revue Nature d'une étude sur l'enfant de Denisova.

 

La découverte

Le site de la grotte de Denisova est connu depuis les années 70. Les différentes études montrent que la cavité a été utilisée par des hominidés depuis 125 000 ans. Le site est situé dans les montagnes de l'Altaï en Sibérie.

De nombreux éléments retrouvés proviennent de la transition entre le paléolithique moyen et le paléolithique supérieur (- 35 000 ans) : outils en pierre, perles, pendentifs, aiguilles, une coquille d'autruche gravée et un bracelet vert. Ces artefacts sont de style Moustérien.

Seules preuves d'humanité, quelques dents et fragments d'une phalange d'auriculaire ont été exhumés en 2008 sur le site.

A qui appartiennent ces ossements ?

  Jusqu'à présent ces restes pouvaient être attribués à deux espèces pouvant se trouver logiquement en Sibérie 40 000 ans en arrière : Homo sapiens ou Homo neandertalensis.
Les scientifiques ne possédaient
pas assez de données pour attribuer cette phalange d'enfant (environ 7 ans) à l'une ou l'autre espèce.

Une étude génétique
  

Sans rapport direct avec cette découverte l'Institut Max Planck (Anthropologie évolutionniste, Leipzig, Allemagne) avait engagé le projet de décryptage du génome de néandertal : plus de 100 ADN d'Homo neandertalensis et d'Homo sapiens ont ainsi été analysés. Les résultats montraient clairement que les 2 espèces n'avaient pas de rapport et étaient distinctes.

Les fragments de phalange de Denisova ont été envoyés en Allemagne pour être analysés. Les chercheurs pensaient véritablement qu'ils allaient enfin pouvoir les attribuer à l'une ou l'autre des 2 espèces...

Une nouvelle espèce !

Surprise de taille, l'étude de l'ADM mitochondrial de cette phalange révèle que cet enfant n'appartient à aucune espèce connue à ce jour... Alors qu'un génome de l'ADNmt de Néandertal diffère de celle de l'Homo sapiens de 202 positions nucléotidiques en moyenne, l'échantillon de la grotte de Denisova diffère en moyenne de 385 postes !
Une comparaison avec les autre ADN connus montre même qu'il faut remonter jusqu'à 1 million d'années dans le passé pour trouver un ancêtre commun à l'hominidé de Denisova
, l'homme moderne et Néandertal.

Svante Paabo et Johannes Krausse ( Institut Max Planck) pensent qu'ils sont face à une nouvelle espèce qui aurait quitté l'Afrique après l'expansion d'Homo erectus (-1.9 millions d'années) et avant celle des neandertaliens (-500 000 ans). Ce simple fragment serait la preuve d'une migration "humaine" inconnue à ce jour ou d'une lignée spécifique.

Qui était l'homme de Denisova ?

Cet hominidé aurait vécu 30.000 ans à 48.000 ans en arrière (d'après la datation du sol de la grotte). Les éléments retrouvés à proximité (outils, parures) indiquent qu'il était aussi évolué que Sapiens et Néandertal avec qui il partageait le même territoire.
Pour confirmer l'existence d'une espèce nouvelle, les chercheurs vont tenter de séquencer intégralement le génome de l'Homme de Denisova.

Plusieurs espèces il y a 40 000 ans...

Décidément, l'homme moderne qui se croyait seul représentant d'une humanité supérieure il y a encore quelques dizaines d'années doit admettre que cette solitude était fausse :

- d'abord la reconnaissance que Néandertal n'était pas une brute épaisse et "animale"
- puis la découverte en 2003 d'Homo floresiensis en Indonésie qui a survécu jusqu'à -18 000 ans
- et maintenant une nouvelle espèce d'homme en Sibérie...

A noter, selon certaines études,
il existait également à cette époque une autre humanité à Java :
Homo soloensis. Pour l'instant cette espèce n'est pas reconnue par l'ensemble des scientifiques et surtout les différentes datations des restes fossilisés sont contradictoires.

Réactions

 
Pour le professeur Chris Stringer (Muséum d'Histoire naturelle de Londres). " Ce travail sur l'ADN donne une toute nouvelle façon de regarder l'évolution, encore mal comprise, de l'homme en Asie centrale et orientale."

"
Nous avons des ornements, un bracelet, il y a donc plusieurs éléments dans les couches stratigraphiques qui sont habituellement associés à l'archéologie de l'homme moderne"
déclare Johannes Krause.

 

Sources Hominidés com

 

Posté par Adriana Evangelizt

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 13:20

 Alors voilà la fameuse video dont je vous parlais ICI. En Anglais, hélas pour ceux qui ne le parlent pas. Il faut dire qu'en France, en ce qui concerne les documentaires sortant des sentiers battus ou en dehors de la science dite officielle, on n'est pas gâté ! Les meilleurs films sur l'Egypte Antique et les questions sur l'utilisation de technologie,  ou sur l'Evolution de l'Homme sont à 99 % en Espagnol ou en Anglais. Et  je n'ai trouvé aucun de ces documentaires en Français. Incroyable. Mais vrai. Ici, on n'est pas pour Eveiller la Conscience en proposant des enquêtes qui remettent en question la version théorique et sans preuve de "chercheurs patentés". Il faut que les Français dorment.

 

Alors regardez cette video. Stephen Oppenheimer avec Spencer Wells -je poserai une conférence de lui en suivant- et deux ou trois autres chercheurs, scientifiques, généticiens n'ont pas peur de s'attaquer aux éléphants de la Science, de bousculer leur sempiternelle tradition qui ne répond à aucune de nos questions. Ils ont parcouru le monde pour rechercher le gène de l'Eve Originelle. De la première de nos Ancêtres. Et ils l'ont trouvé en Afrique. Vous allez voir des scènes extraordinaires car Oppenheimer a retracé le parcours des survivants du premier grand Cataclysme causé par une éruption volcanique qui a affecté la planète entière. Donc, très proche de ce que je dis qui va se produire bientôt et qui se produit à la fin du cycle précessionnel de la Terre. Le Déluge planétaire survenant 12 960 plus tard. Cette éruption s'est produite, il y a 75 000 ans. En Afrique. Il y a donc eu deux autres cycles précessionnels depuis et deux autres Cataclysmes du même type volcanique. Il ne faut pas l'oublier. D'ailleurs, pour la dernière Catastrophe, il n'y a eu que 2000 survivants dans le monde.

 

Vous verrez la scène très bien reconstituée avec les survivants qui en réchappent. Et le chemin qu'ils ont parcouru, à pied à travers les eaux, puis en barque... ils ont pris pour la reconstitution une tribu de Zoulous, les légendaires guerriers d'une hauteur avoisinant toujours les presque 2 mètres. Les hommes comme les femmes possèdent cette beauté que le temps n'a jamais effacé. Il faut voir le modelé des muscles tout en finesse chez ces êtres de qui nous descendons. Il faut voir aussi combien ils avaient la capacité d'affronter les éléments pour porter ailleurs leur descendance et la Vie. Quelle fabuleuse leçon de courage et d'exemplarité.

 

Et je me suis demandé en regardant ces scènes combien d'entre nous parmi les survivants seront capables de faire ce qu'ils ont fait ? Je l'avoue tout net, moi j'en suis incapable. Réfléchissez bien à ce que je vous dis car la dégénérescence qui s'est abattu sur notre civilisation occidentale va durement se faire sentir lorsque nous allons connaître ce qu'ils ont connu. Il y a fort à parier encore que ce ne sont pas les blancs -qui se croient si forts pour certains- qui sortiront "vainqueurs" de cette épouvantable épreuve. Nous n'en aurons pas  la capacité. C'est là que l'on voit toute la différence entre l'Occident et les peuples que l'on nomme primitifs ou du tiers-monde. Leur façon de vivre est resté pratiquement la même depuis des dizaines de milliers d'années et nul doute qu'ils se sortiront mieux que nous de cette fin du monde qui se répète de cycle en cycle.

 

Regardez bien la scène où la dame accouche derrière un rocher, debout. Regardez bien le petit garçon qui arrive pour la réconforter puis qui prend le nouveau-né pour lui faire admirer le monde du haut d'une falaise. Magnifique. Et quelle leçon ! 

 

Vous verrez donc la reconstitution du Jardin d'Eden où le volcan s'éveille réduisant tout à néant. Et la course folle de cette Eve et de cet Adam pour échapper au désastre. Il faut savoir que l'Homosapiens n'est arrivé en Europe que 35 000 ans plus tard, toujours en partant de la même racine. Là aussi, belles scènes lorsqu'ils se retrouvent face à  l'homme de Neanderthal. 

 

Et enfin pourquoi nous avons blanchi. Ceci est dû aux radiations tant solaires qu'atomiques. Ceci ne voudrait-il pas dire que nous avons régressé ? D'autant que le cerveau des premiers homo-sapiens faisait 1650 cm3 et que nos cerveaux actuels n'en font que 1350. Voyez ICI. 300 cm3 de différence, ce n'est pas rien. Cela nous ramène au crâne d'Akhenaton, dernier descendant des Antiques Egyptiens, eux-mêmes descendants des Atlantes. Et cela nous ramène donc aux "dieux" et "demi-dieux" capables de prouesses extraordinaires rien qu'avec la puissance de leur Esprit. Nous avons donc régressé de ce côté-là. Du côté cerébral. Tant physiquement dans la masse du cerveau que psychiquement. La Science prouve ce que je tiens moi-même à affirmer sur nos Ancêtres supérieurs... en prenant comme base les écrits de la tradition Egyptienne antique qui parle de 36 525 ans. Lorsqu'on sait que cette première Eve donna naissance à des êtres qui utilisaient déjà une technologie voilà 75 000 ans comme vous le verrez dans la doc. Des pierres polies notamment et autres artefacts plus lisses que nos marbres actuels. Tout ceci donne à réfléchir sur les grandes civilisations qui ont construit ces monuments que les scientifiques continuent à attribuer à des êtres qui n'avaient pas encore découvert le fer ! On a tout compris...

 

 

 

The Real Eve

 

 

 

 

 

Posté par Adriana Evangelizt

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 12:31

Je pose cet article de Wikipédia pour que vous ayez une idée du temps où vécurent les premiers Homo-Sapiens et pour entériner ma prochaine video Apocalypsis 42, suite de la Chute des Dieux. Je viens de regarder une video réalisée par un chercheur britannique que je poserai en suivant. Elle est, malheureusement en anglais, mais je SUPPLIE ceux qui comprennent l'Anglais de la regarder. Là, nous avons affaire à de VRAIS CHERCHEURS. Ainsi, vous y verrez que la fameuse scène du Jardin d'Eden d'où le dénommé Adam se serait fait virer, est située à 75 000 ans avant notre ère, en Afrique, et qu'il s'est fait virer -si l'on puit dire- à cause d'éruptions volcaniques. Ils furent les survivants de cette catastrophe et il faut voir le "trajet" ou le périple que leurs descendants ont effectué pour peupler le monde. Je vous en parlerai davantage dans le prochain article.

 

Vous noterez ici que la lignée maternelle est très importante pour la descendance, bien plus importante que si elle vient de l'homme. Voilà d'où vient la théorie judaïque qui prime la mère sur le père pour la descendance. Mais elle s'applique à tous les humains...

 

Enfin, je fais un clin d'oeil à mon Amie qui se nomme Eve en posant cet article et je lui recommande de regarder la video que je vais poser... Eve et sa moitié, qu'est-ce que ça donne ? Eve-IL. Eveil.

 

 

 

 

 

Ève mitochondriale

 

 

 

L’Ève mitochondriale est le nom donné à une femme hypothétique considérée comme la plus récente ancêtre commune par lignée maternelle de l'Humanité. Son existence est attestée par la démonstration qu'il y a une lignée unique de mitochondries dans les cellules de tous les humains.

 

Les mitochondries sont des organites cellulaires qui ne sont transmis que par l'ovule de la mère et il a été démontré que tous les ADN mitochondriaux humains ont une origine commune. L'Ève mitochondriale est l'équivalent féminin de l'Adam Chromosome-Y, l'ancêtre commun le plus récent par lignée paternelle.

 

En tenant compte de la vitesse de mutation (concept de l’horloge moléculaire), dans cet ADNmt, les calculs font supposer que l’Ève mitochondriale a vécu il y a quelque 150 000 ans. La phylogénie suggère qu’elle a vécu en Afrique (aujourd'hui Éthiopie, Kenya ou Tanzanie).

Importance d’Ève

Bien que le nom biblique d’Ève lui ait été donné, l’Ève mitochondriale n’était pas le seul individu femelle vivant de son époque. D’autres femmes vivaient en même temps qu’elle. Ces autres femmes ont elles aussi eu de la descendance, probablement certaines d'entre elles sont aussi des ancêtres communes à l'Humanité actuelle, ou des ancêtres communes à une partie seulement de l'Humanité. Ce qui caractérise l’Ève mitochondriale, et toutes ses ancêtres par lignée maternelle, est qu'elle est l'ancêtre par lignée maternelle uniquement. De sa génération, seule l'Ève mitochondriale a produit une chaîne ininterrompue de filles jusqu'à aujourd’hui, et elle fut la seule de laquelle tous les humains vivants descendent en ligne maternelle. Les mitochondries des autres femmes de son époque ont disparu, n'ayant pas été transmises à au moins une fille. Cela ne veut pas dire qu'elles n'ont pas de descendance ; les autres femmes ont bel et bien eu une descendance faite d'hommes et de femmes, mais pas de lignée maternelle pure. Les descendants de ces autres femmes auront une partie de leur bagage génétique, mais les mitochondries de leur ascendance maternelle, donc ceux issus de l'Ève mitochondriale.

 

Les lois du hasard couplées à une population réduite montrent que la moindre variation dans les proportions d'un allèle au sein d'une population peut entraîner rapidement sa domination ou sa disparition par dérive génétique, même si cet allèle n'a pas d'effet différentiel en termes de sélection naturelle. Il en est de même pour l'ADN mitochondrial.

 

Les études par simulation sur ordinateur indiquent qu’Ève n’est peut-être pas la plus récente ancêtre commune de l’Humanité dans l'absolu, mais la plus récente ancêtre commune par lignée maternelle. D’autres ancêtres communes plus récentes ont apporté leur contribution à différents gènes résidant dans l’ADN nucléaire linéaire. Par exemple, quelque ancêtre commune plus récente doit avoir transmis un gène qui spécifie une sous-unité d'ARN dans les ribosomes. Cependant, puisque la reproduction mêle l’ADN nucléaire des chromosomes transmis par les deux parents, une ancêtre commune plus récente qu’Ève reste difficile à identifier actuellement.

Chaîne d’évènements

Le fait surprenant qu’aucune autre lignée féminine n’ait survécu depuis l’époque d’Ève semble un effet du hasard plutôt que de la sélection naturelle. Un individu féminin acquiert le titre d’"Ève" rétroactivement à travers une exceptionnelle lignée de filles : dans chaque génération de sa descendance se trouve au moins une fille donnant naissance à une autre fille. Ève ne prend possession de son « titre » que lorsque les lignées de toutes les autres prétendantes sont interrompues, la détentrice du titre n'aurait donc pas pu être identifiée par un test de son vivant.

 

Essentiellement, le processus hypothétique par lequel tous les lignages sauf un disparaissent est le même que celui de la dérive génétique des allèles. De même que pour la « fixation » ou la disparition de tous les autres allèles durant la dérive génétique, le processus de la fixation matrilinéaire est beaucoup plus lent et a beaucoup moins de chances de se réaliser dans une vaste population que dans une petite. Si Ève avait vécu parmi des millions d’autres femmes, il serait très improbable que les ancêtres matrilinéaires de tous les humains vivants aujourd’hui convergent vers Ève (ou autre contemporaine d’Ève).

 

Pourquoi la communauté d’Ève et de ses semblables aurait-elle été si petite ? Une possibilité est que la population humaine mondiale à son époque soit passée par un goulet d’étranglement. Une autre est qu’Ève ait vécu parmi une sous-population d’humains venue supplanter toutes les autres. Une version encore plus extrême de ce scénario est qu’Ève ait eu une vie très brève après quelque évènement isolant ayant causé la spéciation des Humains anatomiquement modernes. Parmi les restes de squelettes humains les plus anciens qui aient été découverts, le plus vieux à présenter des os comparables aux humains d’aujourd’hui date effectivement de l’époque à laquelle vécut Ève.

La relation à Adam

D’autre part, il existe un homme récent, « l’Adam Y-chromosomique », ayant engendré une lignée ininterrompue de mâles qui sont les aïeux de tous les hommes de la terre. L'Adam Y-chromosomique remonte seulement à la moitié du temps écoulé depuis Ève. Ceci veut dire qu’un autre goulet d’étranglement, outre celui lié à Ève, a affecté le lignage humain après elle. Le fait que le goulet d’étranglement à l’époque d’Adam n’ait pas également produit un ancêtre matrilinéaire commun à tous les humains vivants – une Ève plus récente, en d’autres termes - semble indiquer que la descendance et la disparition d'un lignage dépendent du hasard (à moins que les lignées masculines soient éliminées plus rapidement, à cause peut-être de la polygamie, qui aurait permis seulement à une partie des mâles d’avoir une descendance). Néanmoins, certains chercheurs soutiennent que la preuve de ce second goulet d’étranglement existe aussi dans les données de l’ADN mitochondrial. Il est aussi possible que les datations soient erronées, c’est-à-dire que les dates décalées d’Ève et d’Adam dénotent de l’imperfection de la théorie de l’horloge moléculaire, qui continue à subir des révisions.

Théorie alternative : transmission des mitochondries paternelles ?

Une transmission des mitochondries paternelles aux ovocytes ruinerait la théorie de l'Eve mitochondriale. A l'heure actuelle, une telle transmission n'a été observée que dans de très rares cas, chez des espèces de moule. Il s'agit donc d'une hypothèse audacieuse. Si elle s'avérait exacte, les mitochondries ne seraient pas un marqueur matrilinéaire aussi exclusif qu’on l’avait supposé. Selon la fréquence avec laquelle la recombinaison surviendrait, il se pourrait qu’aucune Ève n’ait jamais existé. Néanmoins, les preuves à l'appui d'une telle théorie sont encore insuffisantes. Il est actuellement admis que chez l'Homme les mitochondries paternelles situées dans le flagelle des spermatozoïdes ne passent pas dans l'ovocyte.

 

Ève et l’origine africaine

 

On parle parfois de l'Ève mitochondriale comme d'une Ève africaine. L'hypothèse africaine est établie sur l'examen des fossiles aussi bien que sur l'analyse de l'ADN mitochondrial. Les « arbres généalogiques » (ou « phylogénies ») édifiés sur la base des comparaisons des ADN mitochondriaux montrent que les humains vivants dont les lignages mitochondriaux constituent les premières branches de l’arbre sont les populations indigènes d'Afrique, tandis que les lignages des peuples indigènes des autres continents naissent tous de lignées africaines. Les chercheurs ont donc pensé que tous les humains vivants descendent d’Africains, dont quelques-uns ont migré hors d’Afrique pour peupler le reste du monde. Aussi, nombre de chercheurs prennent-ils le fait mitochondrial comme preuve en faveur de « l’origine unique » ou « Genèse africaine ».

 

La construction d’arbres généalogiques à partir des données d’ADN est cependant une science inexacte. Les critiques de la « Genèse africaine » prétendent que le fait mitochondrial peut être expliqué aussi bien, ou même mieux, par des arbres plaçant Ève plus proche des peuples d’Asie. Toutefois, depuis 2003, suite aux progrès successifs en matière d'informatique et de méthodes de détermination des arbres phylogénétiques, le nombre de ces critiques a diminué. En tout état de cause, le plus grand soutien que l’ADN mitochondrial puisse offrir à l’hypothèse de l’origine africaine ne dépend pas des arbres. C'est en effet parmi les populations africaines que l'on trouve la plus grande diversité d'ADN mitochondrial, certaines variations ne semblant exister qu'en Afrique. Cette diversité n’aurait pu s’accumuler, disent les chercheurs, si les humains n’avaient pas vécu plus longtemps en Afrique que n’importe où ailleurs. L’analyse des séquences du chromosome Y a donné également des résultats en faveur d’une origine africaine des hominiens.

Récente découverte sur l'origine africaine

Une récente découverte confirme l'origine africaine de l'Ève mitochondriale. En effet, une équipe de chercheurs de l'Université de Cambridge a publié dans la revue Nature les résultats de leur recherche sur la théorie de l'origine de l'homme. Ils sont arrivés au résultat que l'homme est effectivement originaire d'Afrique sub-saharienne.

 

Pour arriver à ce résultat, l'équipe du Dr Andrea Manica a combiné deux méthodes complémentaires : une étude génétique sur les différentes populations existantes et une étude phénotypique de plus de 6000 squelettes venant de plusieurs régions de la planète.

 

Le Dr Andrea Manica (University's Department of Zoology) explique : "... certains ont utilisé des données morphologiques pour argumenter que les hommes modernes avaient des origines multiples. Nous avons combiné nos enregistrements génétiques avec de nouvelles mesures d'un large échantillon de squelettes pour démontrer définitivement que les hommes modernes sont originaires d'une seule région au sud du Sahara en Afrique."

 

Sources Wikipedia

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

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21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 01:04

Des traces de pas de 345 000 ans !

 

 

 

Attractions touristiques et objets d'une légende effrayante, les empreintes de pas humains les plus anciennes jamais observées révèlent aujourd'hui leur âge exact, grâce à des chercheurs français.

 

Les plus anciennes traces de pas humains ont 345 000 ans. C'est ce que vient de déterminer une équipe du Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE) (1), à Gif-sur-Yvette, à l'aide d'une technique de datation peu conventionnelle. C'est par un pur hasard que Stéphane Scaillet et ses collègues se sont intéressés à ces vénérables empreintes. En 2006, le géochronologiste apprend l'existence de mystérieuses "traces de pas du diable". En réalité, des empreintes gravées sur les pentes d'un volcan italien, et qui dateraient de 325 000 à 385 000 ans. Un âge approximatif, mais qui déjà permettait aux chercheurs de révéler un fait exceptionnel: ces traces étaient bien les plus anciennes empreintes humaines découvertes à ce jour !

 

 Stéphane Scaillet ne résiste pas à l'envie d'y voir de plus près. Direction Roccamonfina, Sud de l'Italie. Sur place, le spectacle est saisissant: presque au milieu de nulle part, vaguement protégées par un ruban de chantier, les empreintes de trois individus sont stupéfiantes de réalisme. L'un a décrit un zigzag pour aborder une pente escarpée, l'autre a opté pour une trajectoire en ligne droite et le troisième s'est aidé d'une main pour ne pas glisser. En tout, plus de 57 empreintes, aux côtés de celles de plusieurs mammifères.

 

Comment ces traces ont-elles résisté aux millénaires ? Ceux qui les ont laissées ont dû s'aventurer sur les flancs du volcan quelques jours seulement après une violente éruption. Sous leurs pieds, une boue de cendres épaisse, qui s'est durcie comme du ciment peu après leur passage. Le volcan a fait le reste: actif jusqu'à il y a 100 000 ans, ses éruptions répétées ont recouvert couche après couche les empreintes fossilisées... Jusqu'à ce que l'érosion finisse par les dévoiler au grand jour. "On les connaît depuis des générations dans la région, rapporte Stéphane Scaillet. Un microtourisme s'est développé et une légende est née de ces "traces de pas du Diable" dont on raconte qu'elles sont celles d'hommes sortis du cratère... Une chose est sûre, si ce sanctuaire est actuellement d'une qualité exceptionnelle, l'érosion va poursuivre son oeuvre. Il m'a donc paru important de déterminer avec précision l'âge des empreintes." Seulement les empreintes fossilisées ne peuvent être datées que par la roche qui les porte. Pour ce faire, les scientifiques ont cherché à mesurer la quantité de deux éléments présents dans des échantillons prélevés sur le volcan, le potassium et l'argon.

 

Pourquoi eux ? En fait, l'un des isotopes de l'argon (2), l'argon 40, est produit au cours du temps  à partir de la désintégration radioactive du potassium. La quantité de l'un de ces éléments par rapport à l'autre peut donc révéler l'âge de la roche. Un hic toutefois: le potassium est solide, tandis que l'argon est gazeux, ce qui rend difficile l'analyse. D'où l'idée des chercheurs de transformer artificiellement le potassium restant en un autre isotope de l'argon, l'argon 39, en irradiant l'échantillon nucléaire. Et voilà la roche du volcan contenant deux isotopes gazeux de l'argon, l'un issu de la désintégration naturelle du potassium au fil des millénaires et l'autre produit en laboratoire, témoin de la quantité de potassium.

 

Mais un obstacle subsistait: la roche volcanique est très hétérogène et elle contient une foule de matériaux d'âges différents qui peuvent fausser les résultats. Raison pour laquelle les empreintes n'avaient jusque-là pu être datées avec précision. Stéphane Scaillet a donc mis au point (Graphie) une sonde laser permettant d'effectuer une analyse, non plus en "masse", et donc moyenne, des minéraux, mais individuelle. Son secret ? "Le laser chauffe ponctuellement les cristaux, sur quelques millimètres carrés, explique le scientifique. Ainsi, chacun libère ses isotopes d'argon, et l'on peut procéder à la datation." L'âge retrouvé le plus couramment parmi les cristaux analysés est celui de la roche.

 

C'est ainsi que les cendres d'une autre ère, foulées par trois promeneurs téméraires, ont révélé le leur: 345 000 ans. Un résultat qui indique que les curieux en question étaient bien les premiers hommes: des Homo heidelbergensis, ancêtres d'Homo neanderthalensis et d'Homo sapiens. Et l'histoire ne s'arrête pas là, car d'autres traces existeraient non loin des premières, laissant à penser que ces trois individus n'étaient peut-être pas que de passage. Un véritable sanctuaire archéologique pourrait alors se cacher non loin.


Notes:

 

(1) Laboratoire CNRS (Le Centre national de la recherche scientifique, plus connu sous son sigle CNRS, est le plus grand organisme de...) / CEA / Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche),...) Versailles St-Quentin.


(2) Les isotopes d'un même élément chimique diffèrent uniquement par le nombre (Un nombre est un concept caractérisant une unité, une collection d'unités ou une fraction d'unité.) de neutrons contenus dans leur noyau.

 

Sources : Posté par Adriana Evangelizt


Techno Science

 

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21 décembre 2008 7 21 /12 /décembre /2008 00:17
Passage de l'eau à la terre: évolution très lente de la boîte crânienne



Le passage de la vie dans l'eau à la vie sur terre a nécessité une lente adaptation de la boîte crânienne, et pas seulement des membres, révèle une étude à paraître jeudi dans la revue britannique Nature, qui comble un chaînon manquant de l'évolution des espèces.

Ces travaux, réalisés sur des fossiles de Tiktaalik rosae, montrent que des éléments du crâne «que l'on croyait autrefois liés aux animaux vivant sur terre étaient en fait des premières adaptations pour la vie en eaux peu profondes», souligne le principal auteur de l'étude, Jason Downs, de l'Académie américaine des sciences naturelles.

Le Tiktaalik rosae, qui se trouvait il y a 375 millions d'années à un stade d'évolution entre les poissons et les premiers animaux capables de marcher, était un prédateur pouvant atteindre 3 mètres de long, avec des dents acérées et une tête ressemblant à celle d'un crocodile.

Décrit pour la première fois en 2006, il possédait encore des caractéristiques des poissons - une mâchoire primitive, des nageoires, des écailles - et en même temps un crâne, un cou, des côtes et un début de membres caractéristiques des animaux terrestres.

 

En examinant la région du crâne, les chercheurs ont mis en évidence la transformation de certaines structures internes du Tiktaalik pour lui permettre de se mouvoir sur le sol et de respirer de l'air.

«Nous pensions que la transition vers le cou et le crâne avait été rapide» dans l'évolution, «en grande partie parce que nous manquions d'informations sur les animaux intermédiaires» entre poissons et animaux terrestres, a souligné un autre chercheur, Neil Shubin, de l'Université de Chicago.

«Le Tiktaalik, ajoute-t-il, comble parfaitement ce fossé morphologique: il nous permet de voir de nombreuses étapes intermédiaires et de résoudre la succession dans le temps de cette transition complexe».

«Cette nouvelle étude nous rappelle que la transition graduelle d'une vie aquatique à une vie terrestre a nécessité beaucoup plus que l'évolution des membres», note aussi de son côté Ted Daeschler, de l'Académie des sciences. «Elle démontre que, tout au long de cette transition, la tête de ces animaux est devenue de plus en plus solide et, en même temps, plus mobile par rapport au reste du corps».

Dans l'eau profonde, les poissons peuvent facilement orienter leur corps vers leur proie. Mais dans des eaux peu profondes et sur terre, un cou - vu pour la première fois chez un fossile de Tiktaalik - est nécessaire, le corps étant supporté par des membres posés au sol.

Sources
Cyberpresse

Posté par Adriana Evangelizt

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