Il est bien évident que les phénomènes observés dans le Cosmos dépassent complètement l'entendement de nos pauvres scientifiques qui, à force de trop se noyer dans la "physique" ignorent absolument le "mystère métaphysique" qui préside à la Création de la Vie sur Terre.
C'est le "fameux Mystère", dont parlait Maimonide, que l'on retrouve voilé dans la Torah, le Zohar, la Kabbale ou le Talmud, qu'il est interdit de dévoiler au commun du mortel, c'est-à-dire au Peuple dont le seul rôle doit être de continuer à être un pauvre mouton. Je re-cite :
"On ne doit ni prendre à la lettre ce qui est écrit dans les livres DE LA CREATION, ni s'en former L'IDEE QU'EN A LE COMMUN DES HOMMES ; autrement, nos anciens sages ne nous auraient pas recommandé avec autant de soin D'EN CACHER LE SENS ET DE NE PAS LEVER LE VOILE ALLEGORIQUE QUI CACHE LES VERITES QUI Y SONT CONTENUES." Maimonide - Le Livre des Egarés.
Maimonide parle bien de LA CREATION. Il est bien évident que l'histoire d'Adam telle que vous la lisez est une allégorie, c'est-à-dire, une métaphore, une image qui dissimule la réalité des faits. Je vais faire simple. Les ELOHIM sont LES FORCES COSMIQUES qui ont créé le Ciel et la Terre, et plus particulièrement LA VIE SUR TERRE. Pour commencer.
Alors inutile de vous dire que ces ELOHIM-là n'ont pas pu dicter quoique ce soit à Moïse, tout comme ceux qui l'ont remplacé par la suite, que cela soit Jehovah le Molochite ou Yahweh. Les Hindous appelaient cette "force", Brahma, d'où sera tiré plus tard A-braham, le grand Fictif. Je suis en train de finir un article où je vous explique tout ça. Poursuivons...
Les Anciens comparaient la Terre à une Femme, comme déjà dit. C'est donc qu'elle en possède les mêmes attributs. Le Principal étant la Fécondation. Or, la Semence qui féconde notre Planète vient du Cosmos. De tous les astres, toutes les constellations mais surtout du TROU NOIR situé au Centre de la Galaxie. Or, voilà déjà un bon moment qu'il a commencé à envoyer sa Semence. Elle est en train de se répandre dans toute la Voie lactée. Jupiter en a subi les premiers effets voilà quelques temps, ce qui a voilé ses bandes sombres, comme vous le verrez sous les photos ci-dessous. Mais bien évidemment, les scientifiques émettent des tas de théories, sauf la bonne.
Et maintenant, il y a une nouveauté, toujours au coeur de notre galaxie. Deux bulles géantes émettant un puissant rayonnement ont fait leur apparition sous l'oeil ébahi de nos scientifiques qui sont incapables d'expliquer ce phénomène. Voyez la photo ci--dessous de ces sphères gigantesques. Elles s'étendent sur 50 000 années-lumière. Faites le calcul de la superficie, quand on sait qu'une année-lumière équivaut à 9 460 milliards de km ! Imaginez la "matière fécondante" phénoménale qui est en train de se répandre dans le Cosmos pour féconder Dame Terre lorsque son bouclier magnétique aura disparu.
Or, je vais vous étonner encore, sourire... ce trou noir se trouve dans la Constellation du Sagittaire au Centre de la Galaxie... et se nomme Sagittaire A. Il en est question, justement, dans l'Apocalypse de Jean. C'est LE PREMIER CAVALIER du cheval de couleur blanche, qui s'élance lorsqu'est brisé le premier sceau :
Je regardai, et voici, parut un CHEVAL BLANC. Celui qui le montait avait UN ARC ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. Apocalypse 6:2
Constellation du Sagittaire
Transposons l'image... le Sagittaire envoie ses flèches. Le Trou noir Sagittaire envoie sa semence. Les flèches de Cupidon transpercent les coeurs. Il s'agit toujours d'une HISTOIRE D'AMOUR. Eh oui... Et en plus dans l'Apocalypse, notre Cavalier a la "couronne" du Vainqueur, certes, mais surtout de l'Epoux. Car le Ciel est l'Epoux de la Terre, comme disaient les Anciens... dans le Zohar vous trouvez le Roi et sa Matrona.
Vous voyez que dans l'Apocalypse on trouve la trace d'une Ancienne Cosmogonie que connaissait une Grande Civilisation. Elle est voilée par des symboles. Mais avec le Temps, les gens qui perpétuaient la Tradition ont oublié leur signification précise.
Cette matière, cette "semence cosmique" qui se répand dans l'Espace, n'est pas le fait du hasard. Cela signifie que notre Terre se prépare à l'Eruption volcanique planétaire qui va refroidir son coeur, faire disparaître le bouclier magnétique, ce qui permettra la fécondation Cosmique. Là, elle est dans les douleurs de l'enfantemenr, comme la Femme de l'Apocalypse. Elle va accoucher d'un nouveau monde.
Le but de la Fécondation Cosmique est de faire muter l'ADN de toutes les espèces vivantes.
Que se passe-t-il sur Jupiter ?
Une énorme bande de nuages qui disparait, un flash lumineux aussi bref que puissant. La planète Jupiter est depuis plusieurs semaines le lieu de phénomènes intrigants. Premiers résultats de l’enquête menée avec le télescope Hubble.
A gauche Jupiter telle qu'on pouvait la voir depuis plusieurs décennies (image prise par Hubble le 23/07/09) et à droite Jupiter vue le 7 juin juin 2010, privée de la ceinture brune de l'hémisphère sud. (NASA, ESA, M. H. Wong (University of California, Berkeley), H. B. Hammel (SSI , Boulder), A. A. Simon-Miller (GSFC) /Jupiter Impact Science Team)
Le 3 juin dernier, un événement suffisamment énergétique pour être repéré depuis la Terre, à 770 millions de kilomètres, s’est produit devant le disque de la planète Jupiter. C’est un astronome amateur chevronné, l’Australien Anthony Wesley, qui a le premier signalé le flash lumineux, visible sur les vidéos réalisées avec son télescope.
Que s’est-il passé? Un astéroïde est-il entré en collision avec l’atmosphère de Jupiter, comme en juillet 2009? Ou bien des fragments de comète comme en juillet 1994 avec le passage de la comète Shoemaker-Levy 9?
Météorite
D’après les images prises par le télescope spatial Hubble le 7 juin, soit trois jours après le signalement du flash, il n’y a pas eu d’explosion dans les nuages de Jupiter. Aucune trace, aucun débris n’est visible, contrairement à 2009 et 1994, d’après les observations des chercheurs rapportées par l’ESA.
Gros plan sur le site du flash lumineux du 3 juin dernier sur l'image prise par Hubble trois jours après: pas de traces noires visibles.
L’équipe internationale qui a analysé les données de Hubble penche plutôt pour l’hypothèse d’une météorite beaucoup plus petite qui aurait brûlé au-dessus des nuages de Jupiter mais sans plonger dans l’atmosphère de la géante gazeuse.
Disparition de nuages
L’enquête sur le flash du 3 juin fournit également de belles images de Jupiter privé d’une de ses bandes de nuages sombres, la ceinture équatoriale sud. Depuis plusieurs mois cette ceinture a totalement disparue. Elle est occultée par des nuages clairs plus élevés, des nuages formés de cristaux de glace d’ammoniac, visibles sur les clichés pris par Hubble, toujours selon l’ESA.
Les chercheurs estiment que ces nuages devraient s’estomper d’ici quelques mois, comme cela s’est déjà produit par le passé. Quelques points noirs apparaissent à la limite de la zone tropicale or ces ‘trous’ sont généralement les signes avant-coureur de la dissipation des nuages d’ammoniac, expliquent-ils. Ces changements météorologiques titanesques ont été observés pour la dernière fois au début des années 70. Davantage de détails sont attendus des observations actuelles.
Sources Sciences et Avenir
----------------
Deux bulles géantes au coeur de notre galaxie
intriguent les astrophysiciens
La découverte de deux bulles géantes mystérieuses liées l'une à l'autre et émettant de puissants rayonnements gamma au coeur de notre galaxie, la Voie Lactée, intrigue les astrophysiciens, qui supposent qu'elles seraient des résidus de l'éruption d'un énorme trou noir.
Cette structure s'étend sur 50.000 années-lumières (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de km) et daterait de plusieurs millions d'années.
"Ce que nous voyons, ce sont deux bulles émettant des rayons gamma s'étendant sur 25.000 années-lumière respectivement au sud et au nord du centre de la Voie Lactée et nous ne comprenons pas totalement leur nature ou leur origine", explique Doug Finkbeiner, un astronome du centre d'astrophysique de l'Université Harvard à Cambridge (Massachusetts).
Il a été le premier à détecter cette structure, qui s'étend sur plus de la moitié du ciel visible, de la constellation de la Vierge à celle de la Grue.
Outre Doug Finkbeiner, Meng Su et Tracy Slatyer de l'Université Harvard ont également contribué à cette découverte réalisée en analysant des données accessibles au public provenant du télescope Fermi à champ large (LAT) lancé en juin 2008 par la Nasa, l'agence spatiale américaine.
Ce télescope spatial, fruit d'une collaboration internationale, est le plus sensible aux émissions de rayons gamma grâce à un détecteur à très haute définition et balaie le ciel entièrement toutes les trois heures.
Les rayons gamma sont les rayonnements lumineux ou électromagnétiques dotés de la plus haute énergie.
D'autres astrophysiciens qui étudient ces rayonnements n'avaient pas détecté ces bulles, en partie à cause de l'abondance de ces émissions qui produisent partout dans le ciel et créent une sorte de brume interstellaire.
Ce phénomène se produit quand les particules, se déplaçant à une vitesse proche de celle de la lumière, inter-agissent avec la lumière et les gaz interstellaires dans la Voie Lactée.
L'équipe de chercheurs auteurs de la découverte a fini par détecter les deux bulles en affinant constamment leurs modèles, un processus qui a permis d'éliminer les autres émissions diffuses de rayonnements gamma.
Les astrophysiciens continuent à analyser ce phénomène pour tenter de mieux comprendre comment cette structure jamais vue auparavant s'est formée.
Les bulles émettent des rayonnements gamma beaucoup plus puissants que ceux détectés ailleurs dans la Voie Lactée, précisent les chercheurs.
Ils notent aussi que ces deux bulles ont des bords bien définis.
Parmi les hypothèses avancées, les astrophysiciens citent des jets de particules provenant du trou noir très massif au coeur de la galaxie.
Dans un grand nombre d'autres galaxies, de tels jets sont formés par de la matière tombant vers le centre du trou noir, objet massif dont le champ gravitationnel est si intense que rien, même pas la lumière, ne peut s'en échapper.
Bien que rien n'indique que le trou noir au centre de la Voie Lactée soit la source de tels jets de particules, ils auraient pu exister il y a plusieurs millions d'années.
Ces bulles pourraient aussi s'être formées avec des gaz provenant d'explosions ayant résulté de la naissance d'étoiles, ou de groupes stellaires au centre de notre galaxie, avance l'astrophysicien David Spergel de l'Université Princeton (New Jersey, est).
"Dans d'autres galaxies, nous observons que la formation d'étoiles peut créer d'énormes flux de gaz", note-t-il.
Mais "quelle que soit la source d'énergie derrière ces gigantesque bulles, ce phénomène est lié à un grand nombre de questions fondamentales en astrophysique", selon lui.
Sources Orange
Posté par Adriana Evangelizt