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  • : La catastrophe planétaire qui s'est produite voilà 12 960 ans est en train de se reproduire mais nul n'en parle... il faut retrouver la Cosmogonie des Anciens pour Savoir.
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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 15:54




Franck Aletru : “La phrase d’Einstein est une caricature mais elle est proche de la vérité..."


« Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre », prophétisait Einstein…


'La phrase d'Einstein est une caricature mais elle est proche de la vérité. Les abeilles sont responsables de la pollinisation donc de la reproduction de plus de vingt mille espèces de plantes. Donc si on voyait ce paysage botanique se désertifier à ce point, il y aurait peu de chances pour que la population humaine trouve à se nourrir. Car la disparition d'espèces végétales entraînera la disparition d'autres espèces animales. Cette suite de causes et d'effets affectera la santé humaine et la survie de l'espèce humaine. L'abeille était présente avant l'homme. Elle a résisté à tous les cataclysmes climatiques, elle a permis la fécondation de multitudes de plantes et sa disparition serait très grave tant son rôle est essentiel dans cet équilibre et dans cette chaîne de vie. L'abeille est aujourd'hui un lanceur d'alerte, un fusible et nous, humains, nous devons être à son écoute et lorsque l'abeille va mal cela veut dire que les humains sont menacés aussi''.

Yves Leconte : ''La disparition des abeilles aurait des effets dramatiques sur l'écosystème...''

Disparition des abeilles : quelles conséquences pour l’écosystème ?

''Les dangers pour l’homme, directement pour l’homme, il n’y en a pas. Les dangers portent sur l’environnement des hommes, sur leur écosystème. Prenons deux exemples d’écosystème. Prenons la sauge. La sauge a besoin de l’abeille. L’abeille vient chercher le nectar au fond de la corolle, elle est obligée de pousser un petit levier qui va déposer le pollen sur le dos de l’abeille. Et quand cette abeille ira féconder une autre plante, une autre sauge , le pollen va mécaniquement se déposer sur le pistil de cette fleur et grâce à l’abeille, l’espèce sauge peut continuer à survivre. Si vous enlevez le pollinisateur , l’espèce sauge ne peut pas s’autopolliniser et donc il n’y aura plus d’espèce sauge. Vous pouvez multiplier cet exemple par autant de plantes qui ont besoin d’un insecte pollinisateur, l’abeille en l’occurrence, pour survivre. L’abeille a donc eu besoin du nectar comme élément énergétique et du pollen comme élément azoté pour survivre et la fleur a besoin de l’abeille pour se reproduire. Il y a donc eu une co-évolution entre les deux espèces. La fleur dans son évolution s’est arrangée avec des artifices pour attirer l’insecte pollinisateur. On peut dire que la survie de l’un est liée à l’autre. Par ailleurs, en ce qui concerne l’activité humaine, prenons l’exemple de la région Rhône-Alpes, vous avez des centaines d’hectares d’arbres fruitiers, de vergers de pommiers ou d’abricotiers qui ont besoin des abeilles pour être pollinisés. Si l’abeille disparaissait, ce serait une catastrophe pour la pollinisation. Vous savez que des colonies d’abeilles sont louées aux apiculteurs le temps de la pollinisation de ces arbres. Grâce à cette pollinisation par les abeilles vous avez de beaux fruits. Sans la pollinisation par les abeilles, il y aurait moins de fruits et des fruits de moins bonne qualité''.


Et si les abeilles disparaissaient ?


par Jacques Tarnero


Au-delà des polémiques autour de certains insecticides (retrait du Régent de la firme BASF, et du Gaucho sur maïs de Bayer), Science actualités a cherché à comprendre ce qui se passait réellement sur la « planète des abeilles » en donnant la parole aux experts et aux éleveurs d'abeilles, les apiculteurs.



Quand les abeilles ne font plus leur miel...


L'histoire des abeilles accompagne celle de l'homme. Depuis l'aube de l'humanité, l'homme en savoure le miel. Aujourd'hui le nectar se fait rare car les abeilles sont malades. Depuis une trentaine d'années, en France, les populations d'abeilles diminuent, se fragilisent. Désigné coupable : l'homme avec la surexploitation industrielle de la nature, l'ajout inconsidéré de produits chimiques pour produire, mieux, plus. Le « plus » s'est transformé en son contraire. Encore une fois, voilà l'écosystème menacé.


Car hormis l'abeille, c'est toute la chaîne complémentaire qui relie l'animal au végétal qui se trouve déréglée. Pas d'abeilles = pas de pollinisation = disparition de certaines espèces végétales = disparition de certaines espèces animales...


Les abeilles en France en quelques chiffres



>>> Nombre de ruches : 1,5 million en 1994 pour 1 million aujourd'hui


>>> 10000 entreprises apicoles auraient disparu en 20 ans


>>> Production de miel : 33000 tonnes en 1995 pour 25000 tonnes en 2003


>>> 22000 tonnes de miel sont aujourd'hui importées en France


>>> 100 000 apiculteurs, dont 1500 professionnels, 75000 amateurs, 3000 pluriactifs


Les abeilles sont elles menacées de disparition ?


Malformations, troubles du système nerveux, désorientation, troubles du comportement, les abeilles présentent toutes sortes de symptômes qui révèlent un état de santé fragile. Certaines abeilles ne retrouvent pas leur ruche. D’autres en sont refoulées parce que non reconnues par le reste du groupe. C'est le constat de différentes études menées par l'INRA depuis une dizaine d'années.


Quelle part de responsabilité aux insecticides ?

Les insecticides nouvelle génération sont accusés de provoquer la mort des abeilles. L’imidaclopride et le fipronil, sensés uniquement protéger la plante, seraient aussi ingérés par les abeilles. Mais les effets nocifs de ces insecticides ne se limiteraient pas aux seules abeilles. Selon certains experts de l’Inra (Institut national de la recherche en agronomie), leurs molécules présentent des dangers multiples pas encore assez évalués. Les molécules employées, ne seraient pas sans effet sur l’homme.


Parmi eux, un neurotoxique, le Régent, produit par la firme BASF, est particulièrement dénoncé par les apiculteurs. La vente du Régent a été suspendue. L’insecticide est soupçonné de décimer les abeilles. Par ailleurs un autre produit, le Gaucho sur maïs, fabriqué par Bayer, et également mis en cause, a été un peu plus tard retiré du commerce.

Pourtant la nocivité de ces molécules n’est pas établie de manière absolue. Des expertises ont donné des résultats contradictoires. Ainsi d’autres recherches menées par l’Inra présentent des résultats moins catégoriques. Les fabricants rejettent, eux, toute responsabilité.


Un problème mondial aux multiples causes…

En trente ans, des pathologies multiples ont touché les abeilles et se sont répandues à la surface du globe. La complexité des causes et la multiplication des facteurs rend les diagnostics difficiles. Ainsi les importations d’espèces ont simultanément importé des pathologies inconnues.

Dans le sud de l’Inde, dans l’Etat de Karnataka, jadis important producteur de miel, jusqu’à 90% des colonies d’abeilles indigènes avaient été détruites au début des années 90 par un virus importé. Le préjudice économique était considérable. Seul un programme complexe de la FAO, comprenant une aide économique et une formation des éleveurs, permet de reconstruire les populations.


Au Québec, dans la région de Rimouski, les populations ont aussi été décimées par des agents parasitaires inconnus.

En Irak, ce sont les effets toxiques de la guerre du Golfe (fumées dues aux incendies des puits de pétrole) qui ont détruit 90% des colonies apicoles.

Il ne s’agit donc ni d’un problème spécifiquement français, ni même ne touchant que les pays pratiquant une agriculture avec usage massif de produits chimiques. Reste malgré tout à quantifier les parts de responsabilité en fonction des différents facteurs en jeu, mais là aucune étude scientifique ne semble en mesure de répondre précisément…


Disparition des abeilles : quelles conséquences pour l'écosystème ?

Les abeilles sont autant productrices de miel qu’elles sont indispensables à la pollinisation des fleurs et des plantes. En effet les abeilles constituent un élément dans la chaîne interactive des écosystèmes. Le rôle de l’abeille est très important dans les divers cycles de la vie des diverses espèces. Pas d’abeilles, pas de miel mais surtout non reproduction et disparition de certaines espèces végétales, donc disparition de certaines espèces animales.


« Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus
que quelques années à vivre
», prophétisait Einstein…

L’abeille fait partie du patrimoine de la culture humaine…

Apparue sur la Terre il y a 80 millions d’années, l’abeille a accompagné les pérégrinations humaines. Déjà sur des peintures rupestres, on peut voir des hommes récoltant le miel… Sur les hiéroglyphes comme sur les représentations de la Mésopotamie antique autant que celles de la Chine des premiers siècles de notre ère, la récolte du miel est illustrée. La terre promise est celle où coulent le lait et le miel. Le produit de l’abeille fait bien figure de première douceur pour une humanité balbutiante et souffrante. À l’évidence, en ce début de XXI° siècle, l’homme ne peut toujours pas se passer de l’abeille…

Jacques Tarnero

Sources
Sciences Actualité

Posté par Adriana Evangelizt

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 13:01

Il est question ici dans le dernier paragraphe du basculement des pôles qui se serait produit il y a 780 000 ans selon les scientifiques. A mon sens, il y en a eu beaucoup d'autres d'autant que les datations au carbone 14 sont fort sujettes à caution comme le prouvent certains articles que je poserai bientôt...



Une première : l'évolution des gaz à effet de serre

 sur 800 000 ans


Pour prédire l'évolution future des gaz à effet de serre, retracer leur évolution passée, de plus en plus loin dans le temps, est un enjeu majeur. C'est en analysant de la glace antarctique extraite dans le cadre du forage glaciaire EPICA (1), que les chercheurs sont parvenus pour la première fois à reconstituer sur 800 000 ans l'évolution des teneurs en dioxyde de carbone et méthane, les deux principaux gaz à effet de serre après la vapeur d'eau. Avec cet enregistrement, les scientifiques disposent de données de référence grâce auxquelles ils espèrent mieux prévoir le climat à venir de notre planète.

Ces résultats font l'objet de deux articles dans la revue Nature du 15 mai 2008.



Pour prédire l'évolution future des gaz à effet de serre, retracer leur évolution passée, de plus en plus loin dans le temps, est un enjeu majeur. C'est en analysant de la glace antarctique extraite dans le cadre du forage glaciaire EPICA , que les chercheurs français du LGGE-OSUG et du LSCE-IPSL , épaulés par plusieurs partenaires internationaux , sont parvenus à repousser ces limites temporelles. Ils ont pour la première fois reconstitué sur 800 000 ans l'évolution des teneurs en dioxyde de carbone et méthane, les deux principaux gaz à effet de serre après la vapeur d’eau. Avec cet enregistrement, les scientifiques disposent de données de référence grâce auxquelles ils espèrent mieux prévoir le climat à venir de notre planète. Ces résultats font l'objet de deux articles dans la revue Nature du 15 mai 2008.

En l'absence de gaz à effet de serre (vapeur d'eau, dioxyde de carbone, méthane…), la température moyenne à la surface de la Terre atteindrait à peine -18°C. Dans ces conditions, toute vie parait impossible. Aujourd'hui, la concentration de ces gaz dans l’atmosphère a considérablement augmenté du fait des activités humaines (combustion des énergies fossiles, développement de l'agriculture). Etudier leur évolution passée permet de mieux comprendre leurs interactions avec le climat terrestre. Une telle étude est possible à partir des carottes de glace qui constituent les seules archives disponibles à ce jour pour reconstruire avec précision les teneurs passées en gaz à effet de serre.



Dans le cadre du projet EPICA, une carotte de glace forée en Antarctique, à proximité de la base franco-italienne Concordia (Dôme C), a atteint en décembre 2004 une profondeur de 3 270 mètres, s'arrêtant à quelques mètres au-dessus du socle rocheux. A ce niveau se situe une glace "âgée" de 800 000 ans, soit 8 cycles climatiques glaciaire-interglaciaires. Il s’agit de la glace la plus ancienne jamais extraite à ce jour. L’analyse des bulles de gaz piégées dans cette glace a ainsi permis d’étendre les enregistrements de la composition de l'atmosphère en dioxyde de carbone (CO2) et méthane (CH4) jusqu'à 800 000 ans (le précédent enregistrement n’avait atteint "que" 650 000 ans). A la lumière de ces nouvelles mesures, les chercheurs français du LGGE-OSUG (2) et du LSCE-IPSL (3) , épaulés par plusieurs partenaires internationaux (4), disposent pour la première fois de courbes de référence des teneurs en CO2 et CH4 témoignant de l’évolution de ces gaz sur cette période très ancienne. Une véritable aubaine pour les scientifiques qui tentent de comprendre les corrélations entre les changements climatiques terrestres et le cycle du carbone. Ces résultats laissent espérer une meilleure prédiction de l'évolution future des gaz à effet de serre, et a fortiori, du climat de la Terre.



Ce travail a déjà permis des avancées fondamentales sur plusieurs points. Il confirme, tout en l’étendant, l’étroite corrélation observée entre les températures enregistrées en Antarctique dans le passé et les teneurs atmosphériques en CO2 et CH4. Autre observation capitale : jamais, sur les derniers 800 000 ans, n’ont été relevées des teneurs en gaz à effet de serre aussi élevées qu’aujourd’hui - les valeurs actuelles dépassent 380 ppmv (5) pour le CO2 et 1 800 ppbv (6) pour le CH4. La courbe du CO2 révèle d'ailleurs les concentrations les plus basses jamais enregistrées, de 172 ppmv il y a 667 000 ans. De plus, les chercheurs ont mis en évidence une modulation (variations plus ou moins élevées) des teneurs moyennes en CO2 atmosphérique sur une échelle de temps relativement longue, c’est-à-dire de plusieurs centaines de milliers d'années. Ce phénomène inédit pourrait résulter de l'intensité plus ou moins importante de l'érosion continentale qui affecte le cycle du carbone sur de grandes échelles de temps.

Concernant l’enregistrement remarquablement détaillé du méthane atmosphérique, les chercheurs constatent une augmentation de la périodicité de la composante dite “de précession” au cours du temps. Bien corrélé aux intensités de la mousson relevées en Asie du Sud-Est à travers les millénaires, ce signal reflète sans doute une intensification des moussons en régions tropicales sur les 800 000 dernières années. Enfin, la courbe du méthane révèle des fluctuations rapides à l'échelle millénaire, récurrentes au cours de chaque glaciation. L'empreinte de tels événements s'observe aussi dans le signal CO2 daté de 770 000 ans, lorsque la Terre entrait de nouveau en glaciation à la suite de l'inversion magnétique terrestre survenue il y a 780 000 ans. Cette variabilité climatique rapide serait liée aux fluctuations du courant thermohalin (circulation à grande échelle des masses d’eau qui participe à la redistribution de la chaleur sur Terre). Reste à expliquer pourquoi elle se manifeste dès le début des glaciations…



(1) Coordonné par la Fondation européenne pour la science (ESF) et la communauté européenne, le projet EPICA ou "European Project for Ice Coring in Antarctica" a obtenu le soutien financier de l’Union européenne et des 10 pays européens participants au forage (Belgique, Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Norvège, Suède, Suisse et Royaume-Uni). Les chercheurs français sont notamment soutenus par l'Agence nationale de la recherche (ANR), l'Institut national des sciences de l’univers (INSU-CNRS) et le CEA. La logistique sur le terrain à Dôme C a été assurée par l’Institut polaire français Paul-Emile Victor (IPEV), en partenariat avec le Programme national italien de recherche antarctique. EPICA a reçu le Prix Descartes pour la recherche en mars 2008.
(2) Laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement, CNRS / Université Joseph Fourier
(3) Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement, CNRS / CEA / Université Versailles Saint Quentin
(4) l'Institut de Physique et le Centre Oeschger sur la recherche climatique de l'Université de Berne (Suisse), entre autres.
(5) Cela signifie que parmi 1 million de molécules dans l'air, 380 seront des molécules de CO2. Un ppmv = une partie par million en volume.
(6) Cela signifie que parmi 1 milliard de molécules dans l'air, 1800 seront des molécules de CH4. Un ppbv = une partie par milliard en volume.
(7) La précession est le nom donné au changement graduel d'orientation de l'axe de rotation d'un objet ou, de façon plus générale, d'un vecteur sous l'action de l'environnement. Prenons le cas de la Terre : on peut considérer que l'axe des pôles précesse du fait des interactions gravitationnelles avec le Soleil.


Sources Centre Saclay

Posté par Adriana Evangelizt

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:58

Pour ceux qui "suivent mon raisonnement et le comprennent"... lisez attentivement cet article. Un article scientifique où l'on retrouve les dates approximatives de ce que j'avance. Tout se situe autour de 10 000 ans en arrière. Mais plus particulièrement de 12 900 ans, je dis moi 12 960 ans. Ce qui correspond à SIX ères parcourues, la précession de la Terre se faisant sur le double soit 25 920 ans. Ils disent qu'il y a 12 900 ans, une période glaciaire s'est installée suivie d'un réchauffement. Il semblerait qu'actuellement, c'est le contraire qui se produise. Il y aurait réchauffement d'abord suivi d'une glaciation. Le réchauffement, pour moi, est dû à l'activation de l'Elément FEU, à l'intérieur de la Terre qui met tous les volcans en éruption. Donc le réchauffement de la Terre part de l'Intérieur, fait remonter des gaz dont le méthane ce qui induit un réchauffement extérieur. Ceci avec la complicité du Soleil, l'époux de Mme notre planète. Car effectivement, le Soleil en est à son 24 e cycle, voir l'article ICI, ce qui correspond dans l'Apocalypse à ce passage :

4:2 Aussitôt je fus ravi en esprit. Et voici, il y avait un trône dans le ciel, et sur ce trône quelqu'un était assis.


4:3 Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine; et le trône était environné d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude.


4:4 Autour du trône je vis vingt-quatre trônes, et sur ces trônes vingt-quatre vieillards assis, revêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or.


Savoir traduire et lire les symboles. Tout dans cette description correspond non à un hypothétique "Dieu" mais à des données cosmogoniques. Le personnage flamboyant assis sur le trône est le Soleil et les 24 vieillards correspondent aux 24 cycles passés. "Vieillard" symbolisant quelque chose d'âgé, de passé. Or, le 24e cycle a débuté en 2008, et doit se terminer vers 2013 à ce que disent les scientifiques. Voir ICI. Pour que le mécanisme catastrophique ou régénérateur de la Terre se mette en branle, il faut donc que le 24e cycle soit achevé. Ainsi on aura nos 24 vieillards ou cycles passés. Et quand vous lisez l'Apocalypse, vous voyez que tout démarre vraiment à ce moment là. Simple comme bonjour. J'écris cela en souriant... car JE SAIS.

Alors je prépare effectivement des vidéos ou du moins je vais les préparer car comme vous le saviez je me suis fait torpiller mon PC. J'aurai mon nouveau aujourd'hui mais il va falloir le reconfigurer ce qui se fera dans les jours à venir. Je vais donc commencer à poser le résultat de mes recherches sur le site Apocalypse aujourd'hui et bien expliquer le cheminement de la Tradition Originelle que l'on retrouve dans l'Apocalypse de Jean. Tradition originelle qui, à la base, était Orale mais sa Transmission fut corrompue et kidnappée par les religieux pour égarer les humains et les asservir à un dogme dangereux. Car celui qui connaît la Vérité sur le fonctionnement et les cycles de notre Terre ainsi que sa corrélation avec le Soleil, la Lune, les constellations sait qu'à un moment donné tout FINIT. En sachant cela, la philosophie de la Vie ne peut pas être ce que l'on voit aujourd'hui dans notre triste monde. Or, tous les Prophètes qui sont venus n'avaient d'autre but que de "dévoiler" cette Loi ou cette Vérité. Car, regardez dans Wikipedia, le véritable rôle d'un Prophète est non pas de "prédire l'avenir" mais de révéler la Vérité aux humains. Et vous remarquerez que bon nombre ont été tués, y compris le dénommé "Moïse" pour des raisons bassement matérialiste de la part de ceux qui veillent à maintenir les Peuples dans l'Ignorance la plus crasse pour mieux les manipuler. A ce propos, je tiens à signaler aussi que le mot "Apocalyspe" ne signifie absolument pas "Catastrophe", il signifie "Révélation"ou "Enlèvement du Voile". Le but de ce texte est donc de "Révéler" quelque chose... et cette Révélation n'est accessible qu'à ceux qui savent "enlever le Voile".  Or, pour ce faire, il faut ôter toutes les scories qui enveloppent les symboles. Il faut "enlever le bon grain de l'ivraie".

Puisque j'en suis à ce stade d'explication, je vais faire une petite mise au point. Je reçois beaucoup de mails de tous bords. Surtout des religieux tant catholiques que judaïques qui m'accusent de mal interpréter les Ecritures. J'oserai dire qu'ils voudraient que je les interprète mal car la Vérité leur fait peur. A ceux-là je dis... OUVREZ LES YEUX... avant qu'il ne soit trop tard. Car vous emmènerez dans votre conscience lors du Grand Cataclysme ce que vous avez accumulé comme Connaissance. Si elle est fausse, le "bagage" est nul. Mais bien plus que cela, le fait d'être "endoctriné" que cela soit dans une idéologie ou une religion, vous induit en erreur. Vous asservit et vous fait prisonnier de quelque chose qui ressemble à la Vérité mais qui n'en est pas. La maxime du Maître Judéen n'était pas une phrase prononcée en l'air... la Vérité vous affranchira, a-t-Il dit. Or, c'est un fait réel. La Vérité vous rend Libre. D'abord parce qu'elle est au fond de vous et qu'il faut la trouver.  Et personne ne peut la trouver à votre place. Surtout pas ceux qui vous orientent dans une voie délétère et fausse afin de vous endoctriner pour mieux aller dans leur sens et épouser leur Cause. Chaque Humain possède au fond de lui un idéal à atteindre. Un idéal de Connaissance, celle-ci amenant à la Vérité, cette dernière ouvrant votre coeur à la Justice et à l'Amour. Ces valeurs abstraites n'ont rien à voir avec le Matérialisme crasse de ceux qui ont besoin de vous, de vos dons, de vos offrandes pour mener grande Vie. Dieu est invisible mais Dieu est en chacun de nous pour qui sait parvenir à trouver son chemin. Et Dieu ne se nourrit par d'Or et d'Argent mais d'une nourriture invisible à l'oeil nu comme les valeurs citées plus haut. J'expliciterai tout cela plus longuement.


A ceux qui attendent le Messie, je dis... vous pouvez toujours scruter le ciel lorsque va se produire la Grande Catastrophe que vous assimilez au Jugement dernier, vous ne verrez apparaître ni la Jérusalem Céleste ni l'Elu sur son trône au milieu des nuages. Le dernier Révélateur, Yeshua, qui tenait la Tradition de ceux qui étaient venus avant lui, n'a jamais parlé d'un HYPOTHETIQUE ROYAUME. JAMAIS. Bien au contraire, au début de son prêche il signifie bien que "le Royaume est au milieu de vous." Ici et maintenant.

17:20 Les pharisiens demandèrent à Jésus quand viendrait le royaume de Dieu. Il leur répondit: Le royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards.


17:21 On ne dira point: Il est ici, ou: Il est là. Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous.


Sachons décrypter ce qui fut dit ou du moins ce qu'il en reste... "au milieu de vous"... n'est-ce pas explicite ?






Le climat a basculé de façon extrêmement brutale

à la fin de la dernière période glaciaire



De nouvelles analyses à ultra-haute résolution de carottes de glace du Groenland révèlent que le climat a basculé extrêmement brutalement, en quelques années, à la fin de la dernière période glaciaire voici environ 10 000 ans.

Les résultats d’une étude réalisée par une équipe internationale à laquelle ont participé les paléoclimatologues français du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA - CNRS - Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines) sont publiés le 19 juin 2008 dans Science et Science Express.


Année après année, la neige qui tombe sur le Groenland s’accumule et se transforme progressivement en une épaisse calotte de glace, l’inlandsis. Ces couches annuelles de glace fournissent un enregistrement de l’évolution du climat. Mené sur une épaisseur de plus de 3 kilomètres, le forage NorthGRIP permet ainsi de connaître l’histoire du climat au cours des derniers 125 000 ans.


Dans l’hémisphère Nord, la dernière période glaciaire (Quaternaire) s’est achevée de manière brutale, avec deux épisodes de réchauffement intenses, interrompus par une période froide. Le premier réchauffement rapide s’est produit voici 14 700 ans, lorsque la température du Groenland a augmenté de plus de 10°C : pendant cette période douce, appelée le Bølling, les premiers peuples de l’âge de pierre se sont installés en Europe du Nord et en Scandinavie. Mais les réjouissances ont été brèves.


Il y a 12 900 ans, un retour à des conditions glaciaires s’est traduit par des températures extrêmement froides, avant un réchauffement final, il y a 11 700 ans. Celui-ci a marqué la fin de la dernière glaciation. Les carottes de glace du Groenland, qui reflètent l’évolution du climat de l’hémisphère Nord, révèlent que ces bouleversements climatiques se sont produits de façon extrêmement rapide.


Un an pour mettre fin à une glaciation


Une équipe de chercheurs vient de montrer que le climat a véritablement basculé d’une année à l’autre. « Nous avons analysé la transition entre la dernière période glaciaire et notre période interglaciaire chaude actuelle. Les renversements climatiques se produisent aussi abruptement que si quelqu’un avait soudain appuyé sur un bouton », constate Dorthe Dahl-Jensen, coordinatrice du projet NorthGRIP, et professeur au Centre d’étude de la glace et du climat au Niels Bohr Institute de l’Université de Copenhague.


Les différents paramètres analysés à partir des couches annuelles de glace apportent chacun une information spécifique sur le climat :


>>>>  Les poussières. Plus le climat est froid, plus l’atmosphère de la Terre contient de poussières soulevées au-dessus des zones arides, et plus elle en dépose au-dessus de la calotte du Groenland.

 

>>>>  L’oxygène. L’abondance de l’isotope O-18 reflète l’évolution de la température atmosphérique lorsque les précipitations se forment. Plus l’abondance de l’isotope O-18 est élevée, et plus le climat local est chaud.

 

>>>>  L’hydrogène. L’excès de l’isotope deutérium varie lorsque les conditions d’évaporation de la vapeur d’eau sont modifiées à la surface des océans, dans les zones sources des précipitations polaires. Un excès élevé en deutérium témoigne d’une température chaude de l’océan.

En comparant l’évolution de l’abondance de poussières, d’isotopes de l’oxygène et de l’hydrogène dans les couches annuelles des carottes de glace, les scientifiques sont parvenus à déterminer la manière dont le climat change, année après année. C’est d’abord le contenu en poussières qui change, et qui diminue d’un facteur 10 en quelques décennies. Le premier signe de bascule du climat se trouve donc loin du Groenland, dans les déserts d’Asie, sources de ces poussières.


« Le résultat le plus spectaculaire est la modification de l’origine des précipitations du Groenland. Quelques années après la modification du contenu en poussières, l’excès en deutérium de la glace bascule d’un niveau glaciaire à un niveau interglaciaire quasiment d’une année à l’autre, ce qui témoigne d’une réorganisation extrêmement rapide de la circulation atmosphérique tropicale puis polaire » explique Valérie Masson-Delmotte, directeur de recherches au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement.


Ces nouveaux résultats permettent de cartographier la séquence des évènements correspondant à des transitions brutales ainsi que les processus climatiques les plus importants au cours de ces réorganisations. « Ces mesures d’une résolution temporelle exceptionnelle permettent pour la première fois de comprendre l’anatomie des changements climatiques passés.


Tout comme le recul extrêmement rapide de la banquise Arctique au cours de l’été 2007, les changements climatiques les plus abrupts de la dernière déglaciation sont liés à des modifications radicales de la circulation atmosphérique », conclut Jean Jouzel, directeur de l’Institut Pierre Simon Laplace.


Ces données inédites sont primordiales pour tester et améliorer les modèles climatiques, utilisés pour prévoir l’évolution future du climat.


Référence :
High resolution Greenland ice core data show abrupt climate change happens in few years. J.P. Steffensen, K.K. Andersen, M. Bigler, H.B. Clausen, D. Dahl-Jensen, H. Fischer, K. Goto-Azuma, M. Hansson, S.J. Johnsen, J. Jouzel, V. Masson-Delmotte, T. Popp, S.O. Rasmussen, R. Rothlisberger, U. Ruth, B. Stauffer, M.-L. Siggaard-Andersen, A.E. Sveinbjörnsdóttir, A. Svensson, J.W.C. White, Science Express.


Supporting online material
(pdf)


Communiqué commun CEA, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, CNRS, Insu

Sur le net :


Le
site internet du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement


Sciences News
Now that’s abrupt, 19 juin 2008




Publication originale
CEA



Sources Contre Info

Posté par Adriana Evangelizt

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:52
Depuis 1999 les glaciers suisses ont perdu 13% de volume


Deux études récentes révèlent l’ampleur de la fonte des glaciers suisses. Depuis 1999, leur masse totale a diminué de 13%, soit 10 km cubes de glaces, et ils perdent l’équivalent d’un mètre d’épaisseur par an.



Par Jonathan Amos, BBC, 19 décembre 2008
 

 

Les glaciers suisses fondent à un rythme accéléré et nombre d’entre eux disparaîtront au cours de ce siècle si les projections climatiques sont correctes, indiquent deux nouvelles études scientifiques.


La première étude montre que quelques 10 kilomètres cubes de glace ont été perdues sur un total de 1500 glaciers au cours des neuf dernières années.


L’autre recherche, basée sur un échantillon représentatif de 30 glaciers, indique qu’ils perdent désormais un mètre d’épaisseur chaque année.


Ces deux travaux scientifiques ont été publiés par l’Institut Fédéral Suisse de Technologie.


« La tendance est négative, mais ce que nous observons, c’est aussi que cette tendance s’accélère », déclare Matthias Huss membre du Laboratoire d’Hydraulique, Hydrologie et Glaciologie de l’Université de Zurich.


Les glaciers commencent à perdre du volume de plus en plus rapidement », nous déclare-t-il.


Cette diminution est due en grande partie à des saisons chaudes plus longues. L’autre facteur clé déterminant la santé des glaciers - le volume de chutes de neige durant l’hiver qui viennent compenser la fonte - ne montre aucun changement à long terme.


Ces deux études ont été présentées à la Conférence d’Automne de l’Union Géophysique Américaine, la plus grande manifestation annuelle dans le domaine des sciences de la terre.


Ces recherches ne sont pas les premières à avoir évalué l’état des glaciers suisses, mais peu de travaux précédents étaient d’une telle ampleur.


Dans l’une, Daniel Farinotti et son équipe ont essayé d’évaluer le volume total de glace dans 1500 glaciers suisses, de l’Aletschgletscher (le plus grand glacier des Alpes) jusqu’à des petits glaciers qui couvrent moins de trois kilomètres carrés.


Cette recherche s’est appuyée sur des mesures directes lorsqu’elles étaient disponibles, en combinaison avec des modélisations estimant le volume de glace pour les zones où les données sont insuffisantes.

L’étude montre que le volume total de glace dans les Alpes suisses était d’environ 75 kilomètres cubes en 1999. Cette valeur a fourni la base de référence pour l’étude. Ce chiffre est supérieur à ce qui était estimé précédemment.


« 1999 est désormais une date assez distante, donc ce que nous avons fait, cela a été d’essayer de calculer le volume perdu depuis cette date de référence, et nous estimons que ce chiffre est de 13% entre 1999 et aujourd’hui », précise M. Farinotti.


Durant l’année 2003, marquée par une forte vague de chaleur dans toute l’Europe, l’équipe estime que 3-4% du volume total des glaciers suisses a disparu.


M. Farinotti indique que son étude met en évidence la place qu’occupent les plus grands glaciers comme réservoirs de glace : plus de 80% du volume total de glace est stockée dans les 50 plus grands glaciers.

« Par exemple, l’Aletschgletscher représente environ 12% de la superficie des glaciers suisses, mais il contient environ un quart de tous que la glace présente en Suisse », précise-t-il.


« Ce qui importe vraiment, c’est de savoir combien de glace avons-nous dans les grands glaciers, parce qu’il semble évident que les petits vont disparaître. Pour eux, c’est juste une question d’années. Mais des glaciers comme l’Aletsch qui contient beaucoup de glace, seront encore là dans durant des décennies. »


L’étude menée par M. Huss et son équipe utilise une approche légèrement différente. Elle porte sur un groupe de 30 glaciers, représentant toutes les tailles, les types et les localisations.


De la même manière, les scientifiques ont utilisé un mélange d’observations directes et de modélisation pour analyser l’évolution des glaciers entre 1900 et 2007.


Au cours de cette période, il existe une forte tendance négative, mais qui n’est cependant pas régulière. Il y a deux phases distinctes durant lesquelles le volume des glaciers s’est accru, et même une phase dans les années 1940 où la fonte a été plus rapide qu’actuellement.


Cependant, d’une manière générale cette période a vu un recul des glaciers, qui s’est accéléré au cours des dernières décennies.


M. Huss a appliqué les projections des modèles climatiques sur le glacier du Rhône, long de 10 km, ce qui est une taille moyenne pour la Suisse.


« Le glacier du Rhône aura presque disparu dans 100 ans », déclare M. Huss.


« Il a tout d’abord une diminution, qui n’est pas très rapide, jusqu’à environ 2050. Ensuite, elle devient vraiment très rapide. Cela signifie que la plupart des glaciers les plus petits auront disparu d’ici à la fin de ce siècle. »

Entre 1880 et 2007, le glacier Aletsch a perdu 65 mètres d’épaisseur, le Rhône 43 m, le Gries 97 m, et le Silvretta 35 m.


Les glaciers appartiennent à l’image de la Suisse, mais leur fonte serait bien plus qu’un problème pour les touristes à la recherche de photos. Leur perte aurait des conséquences profondes pour les écosystèmes et au plan économique.


« Les glaciers stockent l’eau en hiver puis la libèrent au cours de l’été, quand il fait chaud et sec, et que le besoin d’eau est le plus important », rappelle M. Huss.


« Et ils peuvent également la stocker durant les années froides et humides et la relâcher durant les étés chauds et secs. C’est un réservoir important. »


« Dans la partie sud-ouest de la Suisse, la quasi-totalité des eaux de ruissellement des glaciers est temporairement stockée et utilisée pour la production d’électricité. Plus de la moitié de l’électricité consommée en Suisse est produite à partir de l’hydroélectricité. »


La recherche dirigée par M. Huss s’est appuyée sur des travaux publiés cette année dans le Journal of Geophysical Research. L’étude dirigée par M. Farinotti a été soumise à la Revue de Glaciologie, et au « Journal of Global and Planetary Change ».




Publication originale
BBC, traduction Contre Info


Illustration : le glacier Aletschgletscher photographié en 1856 et 2009 - Source
Institut Fédéral Suisse de Technologie

Sources Contre Info

Posté par Adriana Evangelizt

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:51

Les mystères de l'Univers sont loin d'avoir été résolus. Cette mystérieuse matière noire pose quand même problème et soulève de nombreuses questions... quand on dit justement que "Dieu" créa le ciel et la terre et que l'on constate la fonction -encore incertaine- de cette énergie sombre, ne pourrait-on penser que les Anciens connaissaient son existence et l'ont nommé "Dieu" ?



Confirmation de l'expansion accélérée de l'Univers




Une équipe internationale de scientifiques conduite par un chercheur russe vient de confirmer expérimentalement l'expansion accélérée de l'Univers, rapporte le site nkj.ru.


Une équipe internationale de chercheurs, placée sous la direction d'Alexandre Vikhlinine, de l'Institut de recherches spatiales (IKI) de l'Académie des sciences russe, a confirmé expérimentalement l'expansion accélérée de l'Univers et reconstitué le tableau de son développement dans le temps. Les chercheurs de l'IKI travaillent actuellement à la création d'un nouvel observatoire X orbital, dont l'une des tâches sera de déterminer l'équation de l'état de l'énergie sombre avec une précision sans précédent.


L'expansion accélérée de l'Univers, a précisé Alexandre Vikhlinine, de même que la mesure, la plus précise effectuée à ce jour, du paramètre de l'équation de l'état de l'énergie sombre, ont été totalement confirmées par un procédé indépendant, totalement nouveau.


Le chercheur russe a rappelé qu'à la fin du siècle dernier, il avait été démontré, grâce aux observations des étoiles supernovae lointaines, que notre Univers connaissait une expansion à une vitesse accélérée. La cause de cette accélération avait été appelée "énergie sombre" ("énergie invisible"). Ses propriétés se sont avérées peu banales - l'énergie sombre, par exemple, doit avoir une pression négative pour "repousser" l'Univers. L'établissement de la nature de cette énergie sombre énigmatique est l'une des principales tâches de la physique moderne car, selon les représentations modernes, c'est cette influence de "l'énergie sombre" qui détermine le développement de notre monde.


Les travaux de ce groupe international de chercheurs européens et américains reposaient sur l'étude de la répartition dans l'espace des amas massifs de galaxies - les principaux éléments de la structure macroscopique de l'Univers. (On peut dépeindre cette structure macroscopique comme des amas de galaxies réunis par des filaments - des amas de gaz - entre lesquels se trouvent des vides). L'énergie sombre doit exercer une influence substantielle sur le développement de la structure macroscopique, car c'est elle qui s'oppose à la force de l'attraction gravitationnelle de la matière et empêche la formation de condensation de matière sur de grandes distances. C'est cette influence qui se reflète le plus sur la vitesse de la formation des amas massifs de galaxies.

Ces amas contiennent des milliers de galaxies semblables à la nôtre, et peuvent avoir des masses de l'ordre de 1 014 masses de Soleil.


86 des amas galactiques les plus massifs ont été découverts expérimentalement et étudiés en détail. Ils se trouvent entre plusieurs centaines de millions et plusieurs milliards d'années lumière de la Voie lactée. Une grande partie de ces amas a été détectée grâce aux données du télescope X ROSAT (Allemagne, NASA). Les mesures des distances nous séparant de ces amas ont été réalisées à l'aide d'une dizaine de télescopes optiques (Keck, Magellan, NTT, etc.) situés un peu partout dans le monde. Un grand nombre d'observations a été effectué également à l'aide du télescope russo-turc de 1,5 m RTT-150. Une contribution majeure à ces travaux a été apportée par l'observatoire X orbital de Chandra (Etats-Unis) : c'est lui qui a permis d'obtenir la mesure précise des masses d'amas.


Sur la base des données obtenues, les astrophysiciens ont reconstitué le tableau du développement de l'Univers, depuis environ les 2/3 de sa taille jusqu'à l'époque actuelle, autrement dit au cours des 5,5 derniers milliards d'années (ce qui correspond à peu près à l'âge du Soleil). Les résultats de cette étude ont montré que la croissance de la structure macroscopique a considérablement ralenti durant cette période.


La force avec laquelle "l'énergie sombre" repousse la matière est décrite par le paramètre de l'équation de l'état de l'énergie sombre, paramètre qui a un sens physique proche de la rigidité d'un ressort. Les chercheurs ont obtenu la mesure de ce paramètre la plus précise à ce jour. Les résultats auxquels ils sont parvenus donnent à penser que les équations de la théorie générale de la relativité  (avec l'ajout de la constante cosmologique) fonctionnent bien à toutes les distances observables - des rayons des orbites des planètes de notre Système solaire aux mesures de toute la partie observable de l'Univers.


L'IKI, en coopération avec les instituts de la Société Max Planck (Allemagne) et d'autres organisations scientifiques internationales, procède actuellement à des travaux visant à créer un observatoire X orbital, le Spektr-Roentgen-Gamma (SRG), dont le lancement est prévu en 2012. Cet observatoire est destiné à surveiller le ciel dans sa totalité. On espère pouvoir découvrir quelque 100 000 amas de galaxies (autrement dit tous les amas massifs de galaxies de l'Univers), environ 3 millions de noyaux de galaxies actives (des trous noirs supermassifs) et environ 2 millions d'étoiles ayant une couronne active. Sur la base des observations des amas massifs de galaxies, on se propose d'obtenir des informations plus précises sur la vitesse de la croissance de la structure macroscopique de l'Univers, qui permettront, à leur tour, de déterminer avec une précision sans précédent, l'équation de l'état de l'énergie sombre.


L'étude de la nature de l'énergie sombre, a expliqué Alexandre Vikhlinine, permettra de créer une nouvelle théorie du vide qui, peut-être, sera étendue à d'autres phénomènes physiques ou montrera que notre espace a non pas quatre, mais cinq dimensions.


Sources Ria Novosti 

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:49


Les forêts de l'Ouest américain souffrent du réchauffement


Le taux de mortalité des arbres des forêts de l'Ouest américain a plus que doublé en quelques dizaines d'années, probablement du fait du réchauffement climatique, selon une étude parue le 23 janvier dans la revue Science. Toutes les classes d'âge, toutes les espèces et toutes les altitudes sont concernées.

L'étude a porté sur 76 parcelles de forêts âgées d'au moins 200 ans, réparties dans plusieurs Etats : Oregon, Washington, Californie, Arizona, Colorado, Nouveau Mexique et Colombie-Britannique au Canada. L'état de santé de ces parcelles est suivi depuis 1955. C'est la plus vaste étude de ce type entreprise sur les forêts tempérées.


Une équipe de chercheurs de l'US
Geological Survey, spécialisée dans l'étude de l'environnement aux Etats-Unis, et de plusieurs universités américaines a mis en évidence une corrélation entre l'augmentation moyenne des températures dans la région et la hausse du taux de mortalité des arbres. Ce taux a doublé en seulement dix-sept ans dans le nord-ouest des Etats-Unis, et moins de trente ans dans les autres régions. Dans le même temps, l'apparition de jeunes arbres est restée stable. Le renouvellement de ces forêts à long terme n'est donc pas assuré.


Les conséquences seront importantes si cette tendance se poursuit, affirment les chercheurs, ce qui est probable au vu des prévisions des modèles climatiques. "Les forêts deviendront plus clairsemées et les arbres seront plus jeunes et plus petits", explique Philip van Mantgem, auteur principal de l'étude. "La structure même de ces forêts pourrait être en train de changer, selon Jerry Franklin, l'un des auteurs. Elles pourraient se stabiliser à des niveaux de biomasse inférieurs à ceux que nous connaissons. Elles stockeront donc moins de carbone." Ces changements auront également un impact sur toutes les espèces animales et végétales dont la survie dépend des forêts.

 


SÉCHERESSES PLUS LONGUES

 


Les chercheurs ont écarté plusieurs causes possibles : dynamique interne des peuplements (compétition accrue entre les arbres par exemple), fragmentation du paysage, pollution atmosphérique par l'ozone, incendies, etc. Même les forêts protégées des parcs nationaux sont touchées.


L'augmentation des températures et le manque d'eau
qui en résulte seraient les principaux responsables. Une neige moins abondante et une fonte printanière plus précoce entraînent un allongement des sécheresses estivales.


Or les arbres sont capables de résister à des sécheresses isolées, mais pas à un manque d'eau répété. En outre, des températures plus élevées favorisent la prolifération des insectes ravageurs, responsables de mortalités massives. "Les attaques se sont multipliées depuis le milieu des années 1990, rappelle Thomas Veblen, l'un des auteurs. Les forêts apparaissent de plus en plus vulnérables."


Selon l'équipe, ces résultats doivent conduire à repenser la gestion des forêts, notamment en favorisant la migration des espèces par la création de couloirs reliant les espaces naturels. C'est ce principe qui guide la création d'une trame verte en France, où l'impact du réchauffement sur la forêt est également constaté.


Gaëlle Dupont

Sources
Le Monde

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:48

Les scientifiques... ah les scientifiques et le réchauffement climatique ! Tout un poème. Pas un seul n'évoque la Catastrophe Planétaire qui se prépare. Et pourtant, tous les signes sont là. Un de mes amis me disaient hier que ce n'était pas possible qu'ils ne le sachent pas. Mais comme tout est maintenu "secret" pour continuer d'esclavagiser les Peuples, ils ne disent rien. Car il est bien évident que si l'on disait à l'Humanité entière qu'il faut qu'elle se prépare à un Cataclysme destructeur qui anéantirait la quasi totalité de notre terre et ses habitants, il y en beaucoup beaucoup beaucoup qui refuseraient de travailler et de s'emmerder finalement pour une élite qui se goberge à nos frais. Alors imaginez le film... imaginez les révolutions et les levées en masse de tous ces humains exigeant de vivre les derniers mois qu'il leur reste à leur convenance. Imaginez... et pourtant, il va falloir que ce mouvement planétaire ait lieu comme il a eu lieu par le passé dans certaines civilisations qui se sont soit-disant éteintes. Je pense toujours aux Incas ou aux Mayas dont on ne nous dit qu'une part de vérité. Les élites religieuses de ces deux peuples en étaient rendus à sacrifier des milliers d'humains à l'autel de leur ambition démesurée, de leur égoïsme et de leur inhumanité. Alors les Incas, les Mayas et d'autres encore ont sacrifié les idoles régnantes qui se prenaient pour Dieu et les ont brûlé avec les pyramides, les autels et tout ce qui allait avec. Quand on regarde aujourd'hui, notamment après le carnage de Gaza, on voit que les sacrifices ne sont pas terminés. Et la colère gronde chez tous les Peuples. La colère gronde de tant d'injustices et de cruautés infligées par ces individus sans foi ni loi, sans conscience et sans la moindre parcelle d'Amour. Quand on voit tout ce qu'il se passe dans le monde, cela nous ramène des milliers d'années en arrière où l'on peut lire dans la Bible :

6:5 L'Eternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal.


6:6 L'Eternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur.


6:7 Et l'Eternel dit: J'exterminerai de la face de la terre l'homme que j'ai créé, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel; car je me repens de les avoir faits.

L'histoire est bien sûr contée de façon allégorique par celui qui écrivit ce texte. Mais remplacez Dieu par la Terre en sachant que l'Histoire se répète depuis des millénaires car notre Planète est soumise à des cycles réguliers destructeurs dont personne ne parle ni ne tient compte. Et ça, c'est très grave...




Nombre d'impacts du changement climatique 

seraient déjà "irréversibles"




Le changement climatique a déjà des conséquences largement "irréversibles" pour un millénaire et les décisions prises aujourd'hui seront cruciales pour en minimiser l'ampleur, mettent en garde des scientifiques dans une étude publiée lundi 26 janvier aux Etats-Unis. Ce travail, mené par un groupe de chercheurs conduit par Susan Solomon, principale scientifique de l'Administration océanique et atmosphérique américaine (NOAA), montre comment le changement de la température à la surface des océans, des précipitations dans certaines régions du globe et la montée du niveau des océans "sont largement irréversibles pour plus de mille ans après que les émissions de dioxyde de carbone (CO2) auront complètement cessé". Cette étude paraît dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences datées du 26 janvier.

"Notre recherche nous persuade que les choix faits actuellement concernant les émissions de CO2 auront des retombées qui changeront irrémédiablement notre planète", déclare Susan Solomon, qui est également membre du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat. "On savait que le CO2 provenant des activités humaines et émis dans l'atmosphère peut y rester pendant des milliers d'années", remarque cette climatologue, qui poursuit : "Mais cette nouvelle étude permet de faire avancer la compréhension de la manière dont ce phénomène affecte le système climatique."


Le réchauffement de la planète est freiné par les océans qui, tel un gigantesque radiateur, absorbent une grande quantité de la chaleur de l'atmosphère, ce qui fait monter leur température et fondre les glaces arctiques et antarctiques. Non seulement cet effet va s'atténuer avec le temps mais les océans contribueront à maintenir des températures plus chaudes en dégageant la chaleur emmagasinée et ce pendant très longtemps, expliquent ces scientifiques.


CHANGEMENT DE LA PLUVIOSITÉ ET MONTÉE DU NIVEAU DES OCÉANS


Cette recherche examine les conséquences de laisser le CO2 s'accumuler dans l'atmosphère selon différents niveaux au-delà de la teneur actuelle moyenne de 385 parties par million (ppm) de CO2 et ce avant un arrêt complet de ces émissions. Avant le début de l'ère industrielle, l'atmosphère contenait seulement 280 parties par million de CO2 .


Les auteurs de ces travaux, basés sur de nombreuses mesures et plusieurs modèles informatiques, ont conclu que les preuves scientifiques étaient suffisamment solides pour d'ores et déjà quantifier certaines conséquences irréversibles du réchauffement, dont le changement de la pluviosité dans plusieurs régions-clés du globe et la montée du niveau des océans.


Laisser le CO2 atteindre de 450 à 600 ppm aurait pour conséquence, selon eux, une diminution persistante des précipitations en été comparable à la sécheresse du "Dust Bowl" en Amérique du Nord dans les années 30, en Europe du Sud, en Afrique du Nord, dans le sud-ouest des Etats-Unis, l'Afrique septentrionale et l'ouest de l'Australie.


Cette diminution des pluies qui persistera plusieurs siècles aura différentes conséquences selon les zones géographiques. Ces chercheurs citent une diminution de l'eau disponible, une plus grande fréquence des incendies, des changements de l'écosystème et une plus importante désertification.


Avec une teneur de 600 ppm de CO2, les océans monteraient de façon irréversible en moyenne de 40 centimètres à un mètre d'ici à l'an 3000 et du double si le CO2 atmosphérique atteignait 1 000 ppm, selon ces scientifiques.


Cette étude est publiée le jour même où le président Barack Obama a annoncé plusieurs décisions inversant la politique de son prédécesseur et qui visent à lutter sérieusement contre le réchauffement. Il a notamment demandé un réexamen immédiat du rejet par l'administration Bush de la décision de la Californie d'imposer des normes plus strictes que celles de l'Etat fédéral pour réduire les émissions de CO2 des automobiles.

Sources
Le Monde

Posté par Adriana Evangelizt


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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:46

 

Année 2009, année de tous les dangers. Voilà la prévision. Les quatre Eléments symbolisés par le Sphynx, le gardien de la Terre, ont déjà commencé leur travail de sape pour préparer le Grand Cataclysme. Il y a un passage de l'Apocalypse qui relate bien ce fait :

9:15 Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes.

Les quatre anges sont les 4 éléments et comme vous pouvez le constater, ils se préparent pour un jour précis. Je n'invente rien. "Prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année..." est-il besoin de préciser que celui qui a tracé ces lignes connaissait l'Ancienne Tradition qui a traversé le temps.

Alors j'étais prête à poser mon travail de recherche sur l'Apocalypse quand une tempête infernale a ravagé notre région coupant l'électricité, le téléphone et l'Internet ! J'en parlerai sur mon dernier article. Ils viennent juste de remettre le net mais le téléphone ne foncitionne toujours pas. Incroyable. Il y a vraiment des ondes négatives qui ne veulent pas que je dévoile la vérité ! Sourire...





Catastrophes naturelles 2008: 235.816 morts,

dont la quasi-totalité en Asie



 Un total de 235.816 personnes ont été tuées en 2008 par des catastrophes naturelles, dont la quasi-totalité ont succombé en Birmanie à cause du cyclone Nargis, et en Chine lors du séisme qui a frappé la province du Sichuan, selon les statistiques présentées jeudi par l'ONU.

Il s'agit du bilan de victimes le plus lourd depuis le tsunami qui avait frappé les côtes d'Asie du sud-est en 2004, selon les statistiques du Centre de recherches sur l'épidémiologie des catastrophes (CRED) de Louvain (Belgique).


Le cyclone Nargis en Birmanie a été l'événement le plus meurtrier de l'année écoulée, faisant 138.366 victimes au mois de mai, suivi, le même mois, par le séisme du Sichuan (87.476 morts).


"Il est triste de penser que les pertes humaines et économiques auraient pu être réduites de manière significative si les bâtiments en Chine, notamment les écoles et les hôpitaux, avaient été construits de manière à mieux résister aux séismes", a déclaré Salvano Briceno, directeur du Secrétariat de l'ONU chargé d'élaborer des stratégies en vue de réduire les conséquences des catastrophes naturelles.


"Un système d'alerte précoce (des cyclones) ainsi qu'une bonne préparation de la population auraient également pu sauver beaucoup de vies en Birmanie", a-t-il ajouté.


Les 319 autres catastrophes recensées l'année dernière ont fait au total moins de 10.000 morts, dont deux ont tué plus d'un millier de personnes: les inondations en Inde en juillet-août (1.963 morts) et une vague de froid hivernale en Afghanistan en janvier (1.317 morts).


Signe de l'importance croissante du facteur climatique, les tempêtes et inondations (284 en 2008 contre 255 l'année antérieure) sont, et de loin, le type de catastrophes le plus fréquent, a souligné Mme Debarati Guha-Sapir, directrice du CRED. De même, il y a eu l'année dernière 24 vagues de températures extrêmes, vers le haut ou le bas du thermomètre, contre 8 en 2007.


Au-delà des victimes mortelles, 211 millions de personnes ont été affectées par les désastres naturels de 2008.


Leur coût économique a atteint un total de 181 milliards de dollars (dont 85 milliards pour le seul séisme en Chine), soit le double des pertes économiques moyennes annuelles durant la période 2000-2007.


L'impact économique et sur les populations est particulièrement important dans les pays à moyens revenus comme la Chine, a relevé Mme Guha-Sapir. "La vulnérabilité des pays tend à augmenter au fur et à mesure qu'ils montent l'échelle du développement. Ces pays devraient investir davantage dans des mesures de réduction d'exposition au risque s'ils veulent mieux protéger leurs gains de développement", a-t-elle préconisé.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:15

De tous les symptômes évocateurs de la prochaine catastrophe, la disparition des abeilles est la plus flagrante. On prête à Einstein cette maxime : "Si l'abeille venait à disparaitre de la surface du globe, l'homme n'aurait plus que 5 années à vivre." S'il a vraiment prononcé ces mots, le Savant savait. Les scientifiques comme d'autres chercheurs émettent tout un tas d'hypothèses quant à cette disparition mais pas la bonne. Eh oui, j'y reviens. A mon sens, la disparition de ces grandes travailleuses est dû, en premier lieu, au basculement des pôles magnétiques qui est pratiquement en phase terminale. Celui-ci provoque une baisse du champ magnétique entourant notre Planète et donc sa protection. A cause de cela, des milliards de particules cosmiques y atterrisent, les êtres les plus petits et les plus vulnérables en subissent les conséquences. C'est sans compter que le basculement des pôles magnétiques désorientent nos petites abeilles. Cela fait beaucoup pour elles.


Les abeilles en danger d'extinction



Malgré l'avis des apiculteurs et des organisations environnementales, le Ministre de l'Agriculture a pris récemment la décision d'autoriser à nouveau l'utilisation du pesticide systémique CRUISER.

Cet insecticide neurotoxique est extrêmement dangereux pour les populations d'abeilles qui sont déjà fortement menacées de disparition.

Alors qu'en Europe, le CRUISER est interdit par de nombreuses législations sur les cultures et notamment le maïs et que le Grenelle de l'Environnement a mis en place un plan d'urgence de préservation des abeilles, le gouvernement a donc, selon les défenseurs de la nature, "porté un coup supplémentaire aux apiculteurs et à la préservation des abeilles ainsi qu'à la biodiversité".

Les abeilles, "acteurs" de l'économie

Les abeilles, on l'ignore bien souvent, ont un impact écologique et économique majeur, via la pollinisation ; écologique, dans la mesure où la pollinisation assure la reproduction et donc la perpétuation de nombreuses espèces végétales et partant, animales ; économique, car selon une estimation de l'INRA et du CNRS, le poids économique de la pollinisation est évalué à 153 milliards d'euros par an !

Or depuis plusieurs années, la filière apicole est menacée ; des colonies entières d'abeilles disparaissent aux quatre coins du globe. En France, le taux de mortalité des abeilles est de 30 à 50% et la production de miel a baissé d'autant.

Si cette disparition est d'origine multifactorielle, il n'en reste pas moins que l'intervention de l'homme sur la nature via notamment les insecticides fragilise les abeilles et menace la biodiversité.
Phillippe de Villiers dénonce le Gaucho et le Régent
Le Président du Conseil Général de la Vendée Philippe de Villiers a pris la tête d'une croisade contre deux insecticides destructeurs, le Gaucho et le Régent, produits considérés comme nuisibles par le Conseil d'Etat. Il met en cause "les industries chimiques, les industries agro-alimentaires et... la complicité de l'administration" dans un livre paru en 2004, Quand les abeilles meurent, les jours de l'homme sont comptés

Phillippe de Villiers rappelle dans ce livre la prédiction d' Albert Einstein : "si l'abeille venait à disparaître, l'homme n'aurait plus que quelques années à vivre" . Pour lui les abeilles étaient "les sentinelles du monde" . Le livre, écrit après avoir eu accès au dossier explosif du Gaucho® et du Régent®, deux insecticide ultra-puissants qui continuent leurs ravages dans nos campagnes, "s'interroge, révèle et sonne l'alerte".
 
Il met en cause non seulement un certain productivisme irresponsable manipulé par des industriels, mais aussi la passivité complice de l'administration.

La Bibliothèque Municipale de Lyon consacre un de ses Points d'Actu à ce "scandale d'Etat"

Sources
Lyon en France

Posté par Adriana Evangelizt


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28 janvier 2009 3 28 /01 /janvier /2009 12:13


Les catastrophes naturelles 2008 parmi les plus dévastatrices



BERLIN (AFP) — Les catastrophes naturelles ont fait 220.000 morts en 2008, une des années les plus dévastatrices jamais enregistrées, confirmant l'urgence d'un accord sur le climat, indique lundi le numéro deux mondial de la réassurance Munich Re.


Bien que le nombre de catastrophes naturelles ait reculé par rapport à l'an dernier (750 contre 960), l'année 2008 a été "l'une des plus dévastatrices" depuis 1900, point de départ de la banque de données sur les désastres naturels de Munich Re, selon un rapport annuel du groupe allemand.


L'année écoulée a aussi été, sur la base de chiffres ajustés de l'inflation, la plus coûteuse en termes de dégâts dus aux catastrophes naturelles, après les ouragans de 2005 et le tremblement de terre de Kobé au Japon, en 1995, poursuit le groupe, dont les expertises dans le secteur font référence.


L'ensemble des dégâts économiques, évalué à 200 milliards de dollars, a été deux fois et demi plus important qu'en 2007 (82 milliards de dollars) mais est resté en-deçà du record de pertes enregistré en 2005 (232 milliards de dollars). Les dégâts assurés ont progressé de 50% par rapport à 2007 pour atteindre 45 milliards de dollars.


"La tendance à long-terme que nous observons se poursuit: le changement climatique a déjà commencé et contribue très probablement à une météo extrême de plus en plus fréquente et ainsi aux catastrophes naturelles qui s'en suivent", commente Torsten Jeworrek, membre du directoire de Munich Re, dans un communiqué.


Le prochain sommet de l'ONU sur le climat à Copenhague en décembre 2009 "doit clairement fixer la voie pour parvenir à une réduction d'au moins 50% des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050", ajoute le responsable, qui prévient que "si nous hésitons trop longtemps, cela coûtera cher aux futures générations".


Une série de cyclones tropicaux et le séisme qui a secoué le sud-ouest de la Chine (Shichuan) en mai ont été particulièrement dévastateurs en termes de vies humaines et de pertes financières, selon le rapport.


En 2008, l'Asie a été à nouveau le continent frappé par les plus graves catastrophes naturelles. Le cyclone Nargis, qui a balayé le sud de la Birmanie début mai, a fait plus de 135.000 morts.


Le même mois, 70.000 personnes ont péri et 18.000 autres ont été portées disparues dans le séisme de la province chinoise du Sichuan. Cette catastrophe a engendré les plus fortes pertes matérielles (environ 85 milliards de dollars) en 2008, constate Munich Re.


"Ce tremblement de terre est jusqu'à présent celui qui a coûté le plus cher après celui de Kobé en 1995", note le groupe.


La saison des ouragans a été la quatrième plus violente depuis 1950 en termes de nombre et de force des tornades, selon Munich Re.


Six cyclones tropicaux se sont abattus sur les Etats-Unis en 2008, dont le plus puissant, Ike, constitue la catastrophe la plus chère de l'année en termes de dégâts assurés (15 milliards de dollars).


Selon des estimations provisoires de l'organisation mondiale de météorologie (WMO), 2008 a été la dixième année la plus chaude depuis le début des mesures régulières de température. Les dix années les plus chaudes ont toutes été enregistrées dans le courant de ces douze dernières années, souligne encore Munich Re.


"Il est très probable que le réchauffement progressif de l'atmosphère est dû aux gaz à effet de serre émis par l'activité humaine (...). La machine climatique marche à plein régime, entraînant de sévères intempéries qui ont des conséquences en termes de dégâts", explique le professeur Peter Höppe, directeur de la recherche des risques de catastrophes naturelles chez Munich Re.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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